Conférence générale
Nos cœurs enlacés dans l’unité et la justice
Conférence générale d’octobre 2020


14:44

Nos cœurs enlacés dans l’unité et la justice

En cette période charnière de l’histoire de l’Église marquant son deux centième anniversaire, engageons-nous à vivre dans la justice et à être unis comme jamais auparavant.

La justice et l’unité sont d’une importance extrême1. Quand les gens aiment Dieu de tout leur cœur et s’efforcent avec justice de devenir semblables à lui, il y a moins de conflits et de querelles dans la société. Il y a plus d’unité. Voici une histoire vraie que j’aime beaucoup et qui illustre cette vérité.

Thomas L. Kane, jeune général n’appartenant pas à notre religion, a aidé et défendu les saints quand ils ont dû fuir Nauvoo. Il a pris la défense de l’Église pendant de nombreuses années2.

En 1872, le général Kane, sa talentueuse épouse, Elizabeth Wood Kane, et leurs deux fils ont quitté la Pennsylvanie pour se rendre à Salt Lake City. Ils se sont joints aux personnes qui accompagnaient Brigham Young lors d’un voyage à pied jusqu’à Saint George, au sud de l’Utah. Pour sa première visite en Utah, Elizabeth avait des réserves au sujet des femmes, mais elle a été surprise par ce qu’elle a appris. Par exemple, elle a découvert qu’en Utah les femmes avaient accès à n’importe quel métier pour gagner leur vie3. Elle a également constaté que les membres de l’Église étaient bienveillants et compréhensifs à l’égard des Amérindiens4.

Pendant le voyage, ils ont séjourné à Fillmore, chez Thomas R. et Matilda Robison King5.

Dans ses écrits, Elizabeth a raconté que pendant que Matilda préparait le repas pour le président Young et les personnes qui l’accompagnaient, cinq Amérindiens sont entrés dans la pièce. Bien que non invités, il était clair qu’ils s’attendaient à se joindre au groupe. Sœur King leur a parlé « dans leur dialecte ». Visiblement satisfaits, ils se sont assis avec leurs couvertures. Elizabeth a demandé à l’un des enfants King ce que sa mère avait dit à ces hommes.

Le fils de Matilda a répondu : « Elle leur a dit que vous étiez arrivés en premier, et qu’elle n’avait pas fait suffisamment à manger pour vous et pour eux, mais que leur repas était sur le feu, et qu’elle les appellerait dès qu’il serait prêt. »

Elizabeth a demandé : « Va-t-elle vraiment faire cela, ou va-t-elle simplement leur donner des restes et les faire manger dehors6 ? »

Le fils de Matilda a répondu : « Maman les servira comme elle vous a servis et elle leur donnera une place à sa table. »

C’est ce qu’elle a fait et « ils ont mangé avec une parfaite politesse ». Elizabeth a expliqué que son hôtesse avait énormément grandi dans son estime7. L’unité augmente lorsqu’on traite les gens avec dignité et respect même quand leur apparence extérieure est différente.

Nous, dirigeants, ne nourrissons pas l’illusion que, par le passé, toutes les relations étaient parfaites, que tous les comportements étaient dignes d’un chrétien et que toutes les décisions étaient justes. Néanmoins, notre religion enseigne que nous sommes tous enfants de notre Père céleste et nous l’adorons ainsi que son Fils, Jésus-Christ, qui est notre Sauveur. Nous désirons que nos cœurs et nos esprits soient enlacés dans l’unité et la justice, et que nous soyons un avec le Père et le Fils8.

La justice est un terme large et général, mais elle inclut sans aucun doute l’obéissance aux commandements de Dieu9. Elle nous qualifie pour les ordonnances sacrées qui constituent le chemin des alliances et nous permet d’être guidés par l’Esprit10.

Être juste n’est pas soumis à la condition que nous ayons toutes les bénédictions que nous espérons immédiatement. Il se peut que nous ne soyons pas mariés ou que nous n’ayons pas la joie d’avoir des enfants ou d’autres bénédictions que nous désirons actuellement. Mais le Seigneur a promis que les justes qui sont fidèles pourront « demeurer avec Dieu dans un état de bonheur sans fin11 ».

L’unité est également un terme large et général, mais elle exprime très certainement les premier et deuxième grands commandements d’aimer Dieu et d’aimer nos semblables12. Elle caractérise le peuple de Sion dont les membres sont unis de cœur et d’esprit13.

Le contexte de mon message s’appuie sur la diversité dont parlent les Écritures et les leçons que nous pouvons en tirer.

Il s’est écoulé deux cents ans depuis que le Père et son Fils sont apparus et ont commencé à rétablir l’Évangile de Jésus-Christ en 1820. Le récit fait dans 4 Néphi, dans le Livre de Mormon, comprend une période similaire de deux cents ans après l’apparition du Sauveur et l’établissement de son Église dans l’Amérique ancienne.

Le rapport historique que nous lisons dans 4 Néphi décrit un peuple parmi lequel il n’y avait ni envie, ni discorde, ni tumulte, ni mensonge, ni meurtre, ni aucune sorte de lasciveté. Les Écritures déclarent que, du fait de cette justice, « assurément il ne pouvait y avoir de peuple plus heureux parmi tout le peuple qui avait été créé par la main de Dieu14 ».

À propos de l’unité, 4 Néphi rapporte « [qu’]il n’y eut pas de querelles dans le pays, à cause de l’amour de Dieu qui demeurait dans le cœur du peuple15 ».

Malheureusement, ce livre décrit ensuite le changement radical qui a commencé au cours de la « deux cent unième année16 », lorsque l’iniquité et la division ont détruit la justice et l’unité. La profonde dépravation qui a suivi a été si néfaste qu’elle a conduit le grand prophète Mormon à déclarer avec tristesse à son fils Moroni :

« Mais ô mon fils, comment un tel peuple, qui met ses délices dans tant d’abominations,

« comment pouvons-nous attendre de Dieu qu’il arrête sa main en jugement contre nous17 ? »

Dans notre dispensation, bien que nous vivions à une époque particulière, le monde n’a pas eu la bénédiction de connaître la justice et l’unité décrites dans 4 Néphi. En fait, nous vivons à une époque où règnent des divisions particulièrement fortes. Néanmoins, les millions de personnes qui ont accepté l’Évangile de Jésus-Christ se sont engagées à parvenir à la justice et à l’unité. Nous sommes tous conscients que nous pouvons faire mieux, et c’est notre défi à l’heure actuelle. Nous pouvons contribuer à l’élévation et au bien de la société. En cette période charnière de l’histoire de l’Église marquant son deux centième anniversaire, engageons-nous, nous, membres de l’Église du Seigneur, à vivre dans la justice et à être unis comme jamais auparavant. Le président Nelson nous a appelés à « faire preuve de plus de civilité, d’harmonie entre races et ethnies et de respect mutuel18 ». Cela signifie nous aimer les uns les autres, aimer Dieu, considérer tous les humains comme nos frères et sœurs et être réellement un peuple de Sion.

Avec notre doctrine qui donne une place à chacun, nous pouvons être une oasis d’unité et nous réjouir de la diversité. Unité et diversité ne sont pas des opposés. Nous pouvons parvenir à une plus grande unité en favorisant une atmosphère d’accueil et de respect de la diversité. Pendant la période où j’ai servi dans la présidence du pieu de San Francisco, en Californie, il y avait des assemblées où l’on parlait l’espagnol, le tongien, le samoan, le tagalog ou le mandarin. Les paroisses anglophones étaient composées de personnes de diverses origines raciales et culturelles. Il y régnait l’amour, la justice et l’unité.

À l’exception des assemblées regroupant des gens parlant la même langue19, les paroisses et les branches de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours sont divisées géographiquement et non en fonction de la race ou de la culture. La race n’est pas indiquée sur le certificat de membre.

Environ cinq cent cinquante ans avant la naissance du Christ, le Livre de Mormon mentionne le commandement fondamental concernant les relations entre les enfants de notre Père céleste. Tous doivent respecter les commandements du Seigneur, et tous sont invités à prendre part à sa bonté ; « et il ne repousse aucun de ceux qui viennent à lui, noirs et blancs, esclaves et libres, hommes et femmes ; et il se souvient des païens, et tous sont pareils pour Dieu, tant le Juif que le Gentil20. »

Le ministère et le message du Sauveur ont constamment affirmé que tous les êtres humains, quelles que soient leur race et leur couleur, sont les enfants de Dieu. Nous sommes tous frères et sœurs. Selon notre doctrine, nous croyons qu’aux États-Unis, pays où a eu lieu le Rétablissement, la Constitution américaine21 et les documents connexes22, écrits par des hommes imparfaits, ont été inspirés par Dieu pour le bénéfice de tous. Comme nous le lisons dans les Doctrine et Alliances, ces documents ont été « [établis] et […] doivent être maintenu[s] pour les droits et la protection de toute chair, selon des principes justes et saints23 ». Deux de ces principes étaient le libre arbitre et notre responsabilité pour nos propres péchés. Le Seigneur a déclaré :

« C’est pourquoi, il n’est pas juste qu’un homme soit asservi à un autre.

« C’est dans ce but que j’ai établi la Constitution de ce pays, par la main des sages que j’ai suscités dans ce but même, et que j’ai racheté le pays par l’effusion du sang24. »

Cette révélation a été donnée en 1833, à une époque où les saints du Missouri subissaient de grandes persécutions. L’en-tête de la section 101 des Doctrine et Alliances rapporte notamment que des émeutiers les avaient chassés de leurs maisons du comté de Jackson et que les menaces de mort contre eux étaient nombreuses25.

C’était une période de tension sur divers fronts. Nombre de Missouriens considéraient les Amérindiens comme des ennemis implacables et voulaient les chasser du pays. De plus, beaucoup de colons du Missouri possédaient des esclaves et se sentaient menacés par les personnes qui s’opposaient à l’esclavage.

Notre doctrine, elle, respectait les Amérindiens, et notre désir était de leur enseigner l’Évangile de Jésus-Christ. En ce qui concerne l’esclavage, nos Écritures disaient clairement qu’aucun homme ne devait être l’esclave d’un autre26.

Finalement, les saints ont été violemment chassés du Missouri27 puis forcés de partir dans l’Ouest28. Ils ont prospéré et ont trouvé la paix qui découle de la justice, de l’unité et de la mise en pratique de l’Évangile de Jésus-Christ.

La prière d’intercession du Sauveur rapportée dans l’Évangile de Jean me remplit de joie. Le Sauveur reconnaît que le Père l’a envoyé et déclare avoir achevé l’œuvre qu’il devait accomplir. Il prie pour ses disciples et pour les personnes qui croiront en lui en demandant à son père : « Que tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et comme je suis en toi, afin qu’eux aussi soient un en nous29. » C’est pour l’unité que le Christ a prié avant sa trahison et sa crucifixion.

Au cours de la première année qui a suivi le rétablissement de l’Évangile de Jésus-Christ, dans une révélation rapportée dans la section 38 des Doctrine et Alliances, le Seigneur parle de guerres et de méchanceté et déclare : « Je vous dis, soyez un ; et si vous n’êtes pas un, vous n’êtes pas de moi30 ».

La culture de notre Église est issue de l’Évangile de Jésus-Christ. L’épître de Paul aux Romains est profonde31. L’Église primitive de Rome était composée de Juifs et de Gentils. Les premiers étaient de culture judaïque, avaient « gagné leur émancipation et avaient commencé à se multiplier et à prospérer32 ».

La culture des Gentils de Rome était fortement marquée par la civilisation grecque, que l’apôtre Paul comprenait bien car il avait séjourné à Athènes et à Corinthe.

Paul présente l’Évangile de Jésus-Christ d’une manière complète. Il relate des aspects pertinents des cultures judaïque et païenne33 qui sont en conflit avec le véritable Évangile de Jésus-Christ. Il demande en substance à chacun des saints d’abandonner les obstacles liés à ses croyances et à sa culture qui sont incompatibles avec l’Évangile de Jésus-Christ. Paul exhorte les Juifs et les Gentils à respecter les commandements, à s’aimer les uns les autres, et prêche que la justice conduit au salut34.

La culture de l’Évangile de Jésus-Christ n’est ni une culture païenne ni une culture judaïque. Elle ne dépend pas de la couleur de peau ni du lieu de résidence. Bien que nous nous réjouissions de la diversité des cultures, nous devons renoncer aux éléments de ces cultures qui s’opposent à l’Évangile de Jésus-Christ. Nos membres et nos nouveaux convertis ont souvent des origines raciales et culturelles diverses. Si nous voulons suivre l’exhortation du président Nelson de rassembler Israël dispersé, nous constaterons que nous avons aussi des différences comme les Juifs et les Gentils à l’époque de Paul. Néanmoins, nous pouvons être unis dans notre amour de Jésus-Christ et notre foi en lui. L’épître de Paul aux Romains établit le principe selon lequel nous nous conformons à la culture et à la doctrine de l’Évangile de Jésus-Christ. Aujourd’hui encore, c’est le modèle à suivre35. Les ordonnances du temple nous unissent d’une façon particulière et elles nous permettent d’être un dans tous les aspects d’importance éternelle.

Nous rendons hommage à nos membres pionniers du monde entier, non pas parce qu’ils étaient parfaits, mais parce qu’ils ont surmonté les difficultés, ont fait des sacrifices, ont aspiré à ressembler au Christ et se sont efforcés d’édifier la foi et d’être un avec le Sauveur. Leur unité avec le Sauveur les a unis les uns aux autres. Ce principe est vrai pour vous et moi aujourd’hui.

L’appel vibrant lancé aux membres de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours est de s’efforcer d’être un peuple de Sion, d’un seul cœur et d’un seul esprit et de demeurer dans la justice36.

Je prie pour que nous soyons justes et unis, entièrement focalisés sur le service et l’adoration de notre Sauveur, Jésus-Christ, dont je témoigne. Au nom de Jésus-Christ. Amen.

Notes

  1. Voir Doctrine et Alliances 38:27.

  2. Le service de Thomas Kane en faveur des membres de l’Église a continuellement été décrit « comme un acte de sacrifice désintéressé d’un jeune idéaliste témoin des injustices infligées à une minorité religieuse persécutée par une majorité cruelle et hostile » (introduction to Elizabeth Wood Kane, Twelve Mormon Homes Visited in Succession on a Journey through Utah to Arizona, éd. Everett L. Cooley, 1974, p. viii).

  3. Voir Kane, Twelve Mormon Homes, p. 5.

  4. Voir Kane, Twelve Mormon Homes, p. 40.

  5. Voir Lowell C. (Ben) Bennion et Thomas R. Carter, « Touring Polygamous Utah with Elizabeth W. Kane, Winter 1872–1873 », BYU Studies, vol. 48, no. 4, 2009, p. 162.

  6. Apparemment, Elizabeth supposait que la plupart des Américains de l’époque n’auraient donné aux Indiens que des restes et les auraient traités différemment de leurs autres invités.

  7. Voir Kane, Twelve Mormon Homes, p. 64-65. Il est intéressant de noter que de nombreux Amérindiens, dont plusieurs chefs, sont devenus membres de l’Église. Voir aussi John Alton Peterson, Utah’s Black Hawk War, 1998, p. 61 ; Scott R. Christensen, Sagwitch: Shoshone Chieftain, Mormon Elder, 1822–1887, 1999, p. 190-195.

  8. Dans cette dispensation, « les justes seront rassemblés d’entre toutes les nations et viendront en Sion avec des chants de joie éternelle » (Doctrine et Alliances 45:71).

  9. Voir Doctrine et Alliances 105:3-5. Selon les Écritures, le fait de prendre soin des pauvres et des nécessiteux est un élément indispensable de la justice.

  10. Voir Alma 36:30 ; voir aussi 1 Néphi 2:20 ; Mosiah 1:7. La dernière partie de Alma 36:30 déclare : « Si tu ne gardes pas les commandements de Dieu, tu seras retranché de sa présence. Or, cela est selon sa parole. »

  11. Mosiah 2:41. Lorenzo Snow a déclaré : « Il n’est pas de saint des derniers jours qui meurt, après avoir mené une vie fidèle, qui perdra quoi que ce soit parce qu’il n’a pas accompli certaines choses du fait que l’occasion ne lui en a pas été donnée. En d’autres termes, si un jeune homme ou une jeune fille n’ont pas l’occasion de se marier et qu’ils mènent une vie de fidélité jusqu’au moment de leur mort, ils auront toutes les bénédictions, l’exaltation et la gloire auxquelles peut accéder quiconque a cette occasion et l’a mise à profit. C’est sûr et certain » (Enseignements des présidents de l’Église : Lorenzo Snow, 2012, p. 138). Voir aussi Richard G. Scott, « La joie de suivre le grand plan de bonheur », L’Étoile, janvier 1997, p. 85-86.

  12. Voir 1 Jean 5:2.

  13. Mosiah 18:21 ; voir aussi Moïse 7:18.

  14. Voir 4 Néphi 1:16.

  15. 4 Néphi 1:15.

  16. 4 Néphi 1:24.

  17. Moroni 9:13-14.

  18. Russell M. Nelson, « First Presidency and NAACP Leaders Call for Greater Civility, Racial Harmony », 17 mai 2018 ; voir aussi « President Nelson Remarks at Worldwide Priesthood Celebration », 1er juin 2018, newsroom.ChurchofJesusChrist.org.

  19. Il est dit dans Doctrine et Alliances 90:11 que « chaque homme entendra la plénitude de l’Évangile dans sa propre langue ». Par conséquent, on approuve généralement que les membres parlant la même langue soient regroupés dans la même unité.

  20. 2 Néphi 26:33.

  21. Voir la Constitution des États-Unis.

  22. Voir la Déclaration d’indépendance des États-Unis, 1776 ; Constitution des États-Unis, Amendements I–X (Déclaration des droits), National Archives website, archives.gov/founding-docs.

  23. Doctrine et Alliances 101:77 ; italiques ajoutés.

  24. Doctrine et Alliances 101:79-80.

  25. En-tête de Doctrine et Alliances 101.

  26. Voir Les saints : Histoire de l’Église de Jésus-Christ dans les derniers jours, tome 1, L’étendard de la vérité, 1815-1846, 2018, p. 183-185 ; James B. Allen et Glen M. Leonard, The Story of the Latter-day Saints, 2e édition, 1992, p. 93-94 ; Ronald W. Walker, « Seeking the ‘Remnant’: The Native American During the Joseph Smith Period », Journal of Mormon History, vol. 19, n° 1, printemps 1993, p. 14-16.

  27. Voir Les saints, tome 1, p. 381-406 ; William G. Hartley, « The Saints’ Forced Exodus from Missouri », Joseph Smith: The Prophet and Seer, 2010, p. 347-389, sous la direction de Richard Neitzel Holzapfel et Kent P. Jackson ; Alexander L. Baugh, « The Mormons Must Be Treated as Enemies », Joseph: Exploring the Life and Ministry of the Prophet, 2005, p. 284-295, sous la direction de Susan Easton Black et Andrew C. Skinner.

  28. Voir Les saints : Histoire de l’Église de Jésus-Christ dans les derniers jours, tome 2, Aucune main impie, 1846-1893, 2020, p. 3-73 ; Richard E. Bennett, We’ll Find the Place: The Mormon Exodus, 1846–1848, 1997 ; William W. Slaughter et Michael Landon, Trail of Hope: The Story of the Mormon Trail, 1997.

  29. Jean 17:21.

  30. Doctrine et Alliances 38:27.

  31. L’épître aux Romains présente la doctrine de manière complète. Elle contient la seule mention de l’expiation dans le Nouveau Testament. J’ai appris à apprécier cette épître et son invitation, à unir différents peuples grâce à l’Évangile de Jésus-Christ, lorsque je servais comme président de pieu avec des membres de différentes races, cultures et langues.

  32. F. W. Farrar, The Life and Work of St. Paul, 1898, p. 446.

  33. Voir Farrar, The Life and Work of St. Paul, p. 450.

  34. Voir Romains 13.

  35. Voir Dallin H. Oaks, « La culture de l’Évangile », Le Liahona, mars 2012 ; voir aussi Richard G. Scott, « Enlever les obstacles au bonheur », L’Étoile, juillet 1998, p. 97-100.

  36. Voir Moïse 7:18.