2010
Il a respecté mon souhait
Avril 2010


Il a respecté mon souhait

Juan Carlos Fallas Agüero, San José (Costa Rica)

Lorsque je me suis fait baptiser à dix-huit ans, je savais que l’Évangile de Jésus-Christ allait devenir un mode de vie. Je sentais à quel point il était important et sérieux de vivre les principes de l’Évangile et j’ai été béni de nombreuses façons en le faisant.

L’un des principes auxquels je suis très attaché est celui d’honorer le jour du sabbat. Cela me permet de marquer une pause dans mes habitudes quotidiennes et de me concentrer sur mon Père céleste.

Je travaille dans le tourisme au Costa Rica. Dans ce secteur d’activité, il est courant de devoir travailler le dimanche. Dès que j’ai commencé à travailler, j’ai dit que j’étais membre de l’Église. J’ai demandé à avoir mes dimanches de libre et cela m’a été accordé.

Ma requête était si inhabituelle qu’elle a aiguisé la curiosité de mes collègues et de mon employeur. Ils m’ont posé beaucoup de questions sur mes croyances. Depuis, j’ai eu plusieurs occasions d’expliquer certaines des choses auxquelles les saints des derniers jours croient. Dans beaucoup de cas, mes explications sur la doctrine de l’Évangile m’ont valu leur respect.

Un jour, mon patron a réuni ses employés pour faire une annonce. Il a dit : « J’ai besoin que vous veniez tous travailler les deux prochains week-ends. » J’ai eu un pincement au cœur. Je savais que cela signifiait que j’allais devoir travailler le dimanche.

Mais il a ajouté : « Cela vaut pour tout le monde excepté Juan Carlos. Nous savons que rien ne le fera venir au travail un dimanche. »

J’étais soulagé. Mon patron avait respecté mon souhait ! Grâce à mon attitude et aux principes que je pratiquais au travail, j’avais gagné son respect. En conséquence, il était disposé à respecter mes croyances.

Je sais que, si nous donnons la priorité aux principes de l’Évangile, le Seigneur nous bénira.

Mon patron a dit : « J’ai besoin que vous veniez tous travailler les deux prochains week-ends. » J’ai eu un pincement au cœur. Je savais que cela signifiait que j’allais devoir travailler le dimanche.