2011
Les chants qu’ils n’ont pas pu chanter
Novembre 2011


Les chants qu’ils n’ont pas pu chanter

Bien que nous n’ayons pas toutes les réponses, nous connaissons des principes importants qui nous permettent d’affronter les tragédies avec foi et confiance.

Elder Quentin L. Cook

De nombreuses personnes affrontent des problèmes importants et même des tragédies pendant ce parcours dans la condition mortelle. Dans le monde entier, nous voyons des exemples d’épreuves et de tribulations1. Notre âme est touchée par les images de mort, de souffrances aigües et de désespoir, à la télévision. Nous voyons les Japonais lutter avec héroïsme contre les dévastations d’un tremblement de terre et d’un tsunami. Les scènes effrayantes de la destruction des tours du World Trade Center que nous avons récemment revues, ont été douloureuses à revivre. Quelque chose nous remue lorsque nous sommes mis au courant de telles tragédies, particulièrement lorsqu’elles sont subies par des innocents.

Les tragédies sont parfois très personnelles. Un fils ou une fille décède prématurément ou est victime d’une maladie dévastatrice. Un parent aimant perd la vie à cause d’un acte irréfléchi ou d’un accident. Quand la tragédie arrive, nous sommes tristes et nous essayons de porter les fardeaux les uns des autres2. Nous regrettons amèrement les choses qui ne s’accompliront pas et les chants qui ne seront pas chantés.

Voici quelques-unes des questions les plus souvent posées aux dirigeants de l’Église : « Pourquoi un Dieu juste permet-il que de mauvaises choses arrivent, particulièrement à des gens bien ? Pourquoi les personnes qui sont justes et au service du Seigneur ne sont-elles pas à l’abri de telles tragédies ? »

Bien que nous n’ayons pas toutes les réponses, nous connaissons des principes importants qui nous permettent d’affronter les tragédies avec la foi et la confiance qu’un brillant avenir est prévu pour chacun de nous. Voici quelques-uns des principes les plus importants :

Premièrement, nous avons un Père céleste qui nous connaît personnellement, nous aime et comprend parfaitement nos souffrances.

Deuxièmement, son Fils, Jésus-Christ, est notre Sauveur et Rédempteur, dont l’expiation non seulement apporte le salut et l’exaltation mais également compensera toutes les injustices de la vie.

Troisièmement, le plan du bonheur du Père pour ses enfants comprend non seulement la vie prémortelle et la condition mortelle mais aussi la vie éternelle, notamment une grande et glorieuse réunion avec les êtres que nous avons perdus. Tous les torts seront redressés et nous verrons avec une clarté parfaite ainsi qu’une perspective et une compréhension sans faille.

De la perspective limitée des gens qui n’ont pas la connaissance, la compréhension ou la foi au plan du Père, qui ne voient le monde qu’à travers les yeux de la condition mortelle avec ses guerres, ses maladies et ses maux, cette vie peut sembler déprimante, chaotique, injuste et dénuée de sens. Des dirigeants de l’Église ont comparé cette perspective à quelqu’un qui arriverait au milieu d’une pièce en trois actes3. Les gens qui n’ont pas connaissance du plan du Père ne comprennent pas ce qui s’est passé au premier acte, l’existence prémortelle, et les buts qui y ont été fixés. Ils ne comprennent pas non plus les éclaircissements et les solutions qui arrivent au troisième acte, qui est l’accomplissement glorieux du plan du Père.

Beaucoup ne se rendent pas compte que, dans son plan aimant et universel, les gens qui semblent désavantagés sans qu’ils y soient pour rien ne seront pas pénalisés à la fin.4

Dans quelques mois cela fera cent ans qu’a eu lieu le naufrage tragique du Titanic. Les circonstances calamiteuses qui ont entouré cet événement horrible sont restées dans les mémoires depuis un siècle. Les promoteurs de ce nouveau paquebot de luxe de onze étages et presque aussi long que trois terrains de football5, ont fait des déclarations excessives et injustifiées à propos de l’invulnérabilité du Titanic dans les eaux hivernales remplies d’icebergs. Ce navire était prétendument insubmersible et pourtant, lorsqu’il glissa sous la surface de l’Océan Atlantique glacial, plus de mille cinq cents âmes perdirent la vie6. »

À de nombreux égards, le naufrage du Titanic est une métaphore de la vie et de nombreux principes de l’Évangile. C’est l’exemple parfait de la difficulté de ne regarder qu’à travers le prisme de notre condition mortelle. La perte de ces vies a été catastrophique de par ses conséquences mais elle fut de nature accidentelle. Avec le carnage de deux guerres mondiales et le dixième anniversaire de la destruction des tours du World Trade Center qui vient juste d’avoir lieu, nous avons eu, à notre époque même, un aperçu du choc, de la souffrance et des problèmes moraux entourant des événements découlant du mauvais usage du libre arbitre. Ces tragédies, quelle qu’en soit la cause, ont des répercussions terribles sur la famille, les amis et les nations.

En ce qui concerne le Titanic, on a tiré des leçons sur les dangers de l’orgueil et de la navigation en eau trouble et sur le fait « que Dieu ne fait point acception de personnes7 ». Les gens qui ont péri venaient de tous les horizons de la vie. Certains étaient riches et célèbres, comme John Jacob Astor, mais il y avait aussi des ouvriers, des émigrants, des femmes, des enfants et des membres de l’équipage8.

Il y a eu au moins deux liens entre des membres de l’Église et le Titanic. Les deux illustrent la difficulté que nous avons à comprendre les épreuves, les tribulations et les tragédies et donnent un aperçu sur la façon de les traiter. Le premier est un exemple de reconnaissance pour les bénédictions que nous recevons et les problèmes que nous évitons. Il concerne Alma Sonne, qui, plus tard, est devenu Autorité générale9. Il était mon président de pieu lorsque je suis né à Logan (Utah, États-Unis). J’ai eu mon entretien missionnaire avec frère Sonne. À cette époque, tous les futurs missionnaires avaient un entretien avec une Autorité générale. Il a eu une grande influence dans ma vie.

Lorsqu’Alma était jeune homme, il avait un ami qui s’appelait Fred et qui n’était pas très pratiquant dans l’Église. Ils ont eu de nombreuses discussions sur le sujet de la mission et finalement Alma Sonne a convaincu Fred de se préparer à en faire une. Ils ont tous les deux été appelés dans la mission britannique. À la fin de leur mission, frère Sonne, secrétaire de la mission, a organisé leur voyage de retour aux États-Unis. Il a réservé des places sur le Titanic pour lui, Fred et quatre autres missionnaires qui avaient aussi terminé leur mission10

Au moment du départ, Fred a été retardé. Frère Sonne a annulé les six réservations sur le nouveau paquebot de luxe pour son voyage inaugural et a réservé des places sur un navire qui partait le lendemain11. Les quatre missionnaires, qui étaient enthousiasmés par l’idée de voyager sur le Titanic, ont manifesté leur déception. La réponse de frère Sonne paraphrase le récit de Joseph et de ses frères en Égypte qui se trouve dans la Genèse. « Comment pourrai-je remonter vers mon père, si l’enfant n’est pas avec moi12 ? » Il expliqua à ses compagnons qu’ils étaient arrivés en Angleterre ensemble et qu’ils devaient rentrer chez eux ensemble. Frère Sonne apprit par la suite le naufrage du Titanic et dit avec reconnaissance à son ami Fred : « Tu m’as sauvé la vie. » Fred répondit : « Non, en me faisant aller en mission, c’est toi qui m’as sauvé la vie13. » Tous les missionnaires ont remercié le Seigneur de les avoir protégés14.

Parfois, comme cela a été le cas pour frère Sonne et ses collègues missionnaires, de grandes bénédictions sont accordées à ceux qui sont fidèles. Nous devons être reconnaissants de toutes les tendres miséricordes qui nous sont accordées15. Nous ignorons nombre de bénédictions que nous recevons de jour en jour. Il est extrêmement important que nous soyons habités par un esprit de gratitude16.

Les Écritures sont claires : ceux qui sont justes, suivent le Sauveur et respectent ses commandements prospéreront dans le pays17. Un élément essentiel de la prospérité est le fait d’avoir l’Esprit.

Cependant, la justice, la prière et la fidélité n’aboutissent pas toujours à des fins heureuses dans la condition mortelle. Beaucoup de gens rencontreront de grandes épreuves. Lorsque cela arrive, le fait même d’avoir foi et de demander les bénédictions de la prêtrise est approuvé par Dieu. Le Seigneur a déclaré : « Les anciens… seront appelés, prieront pour eux et poseront les mains sur eux en mon nom. S’ils meurent, ils mourront pour moi, et s’ils vivent, ils vivront pour moi18. »

Il est instructif que le deuxième lien entre un membre de l’Église et le Titanic n’ait pas eu une fin heureuse dans la condition mortelle. Irene Corbett avait trente ans. C’était une jeune épouse et une jeune mère qui venait de Provo (Utah). Elle avait de grands talents artistiques et musicaux. Elle était aussi enseignante et infirmière. À la demande de professionnels de la santé à Provo, elle suivit une formation complémentaire de six mois comme sage-femme à Londres. Elle avait le grand désir de contribuer à changer le monde. Elle était consciencieuse, réfléchie, pieuse et courageuse. Elle avait choisi le Titanic pour rentrer aux États-Unis entre autres raisons parce qu’elle pensait que les missionnaires feraient le voyage avec elle et que cela apporterait une sécurité supplémentaire. Irene fut une des rares femmes qui ne survécurent pas à cette terrible tragédie. La plupart des femmes et des enfants furent mis dans les canots de sauvetage et furent finalement sauvés. Il n’y avait pas assez de canots pour tout le monde. Il semble qu’elle n’ait pas pris place dans l’un d’eux parce que, du fait de sa formation, elle s’occupait des nombreux passagers qui avaient été blessés lors de la collision avec l’iceberg19.

Il existe de nombreuses sortes d’épreuves. Certaines nous donnent des expériences nécessaires. Les résultats défavorables dans la condition mortelle ne sont pas la preuve d’un manque de foi ou d’une imperfection dans le plan global de notre Père céleste. Le feu du fondeur est bien réel et les qualités de la personnalité et la droiture qui sont forgées dans la fournaise de l’adversité nous perfectionnent, nous purifient et nous préparent à rencontrer Dieu.

Quand Joseph Smith, le prophète, était emprisonné à Liberty, le Seigneur lui a déclaré que de nombreuses calamités peuvent arriver aux humains. Le Sauveur a, entre autres, déclaré : « Si tu es jeté dans l’abîme, si les vagues houleuses conspirent contre toi, si des vents féroces deviennent tes ennemis… et que tous les éléments s’unissent pour te barrer la route… ces choses te donneront de l’expérience et seront pour ton bien20. » Le Sauveur a ainsi conclu ses instructions : « Tes jours sont connus et tes années ne seront pas diminuées ; c’est pourquoi ne crains pas… , car Dieu sera avec toi pour toujours et à jamais21. »

Certaines épreuves découlent du libre arbitre d’autres personnes. Le libre arbitre est indispensable à la progression et au développement spirituel personnels. Le comportement malveillant est un élément du libre arbitre. Le capitaine Moroni explique ce point de doctrine très important : « Le Seigneur souffre que les justes soient tués, afin que sa justice et son jugement tombent sur les méchants. » Il précise bien que les justes ne sont pas perdus mais qu’« ils entrent dans le repos du Seigneur, leur Dieu22 ». Les méchants seront tenus pour responsables des atrocités qu’ils commettent23.

Certaines épreuves viennent de la désobéissance aux commandements de Dieu. Les problèmes de santé provoqués par le tabac, l’alcool ou la drogue sont énormes. Les emprisonnements qui découlent de la délinquance liée à l’alcool ou à la drogue sont également très nombreux24.

Le taux de divorces pour infidélité est également important. Beaucoup de ces épreuves pourraient être évitées par l’obéissance aux lois de Dieu25.

Mon président de mission bien-aimé, Marion D. Hanks (qui est décédé en août), nous demandait, lorsque nous étions missionnaires, de mémoriser une déclaration pour résister aux épreuves de la condition mortelle : « Il n’est pas de hasard, pas de sort, pas de destin qui puisse contourner, contrecarrer ou dominer la ferme résolution d’une âme décidée26. »

Il reconnaissait que cela ne s’applique pas à toutes les épreuves que nous rencontrons mais c’est vrai dans le domaine spirituel. J’ai apprécié son conseil dans ma vie.

L’une des raisons du nombre terrible de vies perdues sur le Titanic a été le manque de canots de sauvetage. Quelles que soient les épreuves que nous rencontrons dans la vie, l’expiation du Sauveur fournit des canots de sauvetage pour tout le monde. Je dis aux gens qui croient que les épreuves qu’ils rencontrent sont injustes : l’Expiation couvre tout ce qui est injuste dans la vie27.

Une difficulté spéciale pour les gens qui ont perdu un être aimé est d’éviter de s’attarder sur les occasions manquées dans cette vie. Ceux qui sont morts trop tôt ont souvent fait preuve de capacités, d’intérêts et de talents importants. Avec notre compréhension limitée, nous regrettons les choses qui ne s’accompliront pas et les chants qui ne seront pas chantés. Quelqu’un a dit que c’est comme si l’on mourait avant d’avoir écrit la musique qu’on avait en soi. La musique, dans ce cas, est une métaphore représentant le potentiel non réalisé. Parfois des gens ont effectué une préparation considérable mais n’ont pas eu l’occasion de l’exécuter dans la condition mortelle28. L’un des poèmes classiques les plus cités, Elegy Written in a Country Church-Yard, de Thomas Gray, exprime bien ces occasions manquées :

Plus d’une fleur naît sans être jamais vue,

Et dissipe en vain son parfum dans l’air désert29.

L’occasion manquée peut concerner la famille, le métier, les talents, les expériences, etc. Toutes ces choses ont été arrêtées net dans le cas de sœur Corbett. Il y a des chants qu’elle n’a pas chantés et un potentiel qu’elle n’a pas accompli dans la condition mortelle. Mais quand on voit les choses par le grand angle de l’Évangile, et non par la lorgnette limitée de la simple condition mortelle, on connaît la grande récompense éternelle promise par un Père aimant dans son plan. Comme l’apôtre Paul l’a enseigné : « Ce sont des choses que l’œil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues, et qui ne sont point montées au cœur de l’homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment30. » Le verset d’un cantique bien-aimé apporte du réconfort, de la consolation et une vue nette : « Et Jésus qui écoute peut entendre les chants que je ne peux pas chanter31. »

Le Sauveur a dit : « C’est pourquoi, que votre cœur soit consolé… soyez calmes et sachez que je suis Dieu32. » Nous avons sa promesse qu’avec nos enfants nous chanterons « des chants de joie éternelle33. » Au nom de Jésus-Christ. Amen.

Notes

  1. Voir Jean 16:33.

  2. Voir Mosiah 18:8-9 ; voir aussi 2 Néphi 32:7.

  3. Voir Boyd K. Packer, « The Play and the Plan » (La pièce et le plan, veillée du Département de l’éducation de l’Église pour les jeunes adultes, 7 mai 1995), p. 3 : « Dans la condition mortelle, nous sommes comme quelqu’un qui arrive au théâtre au moment où le rideau se lève sur le deuxième acte. Nous avons raté le premier acte… et la réplique ‘et ils vécurent heureux à jamais’ ne fait jamais partie du deuxième acte. Cette ligne appartient au troisième acte, lorsque les mystères sont résolus et que tout est mis dans son ordre propre. » Voir aussi Neal A. Maxwell, All These Things Shall Give Thee Experience (Toutes ces choses te donneront de l’expérience), 1979, p. 37 : « Dieu… voit tout du début jusqu’à la fin… Cette arithmétique… est quelque chose que nous, mortels, ne pouvons pas comprendre. Nous ne pouvons pas faire les additions parce que nous n’avons pas tous les chiffres. Nous sommes enfermés dans la dimension du temps et sommes circonscrits aux perspectives étroites de ce deuxième état. »

  4. Les personnes qui meurent avant d’atteindre l’âge de responsabilité sont sauvées dans le royaume céleste (voir Doctrine et Alliances 137:10). Les gens qui sont morts sans connaître l’Évangile et qui l’auraient reçu s’ils en avaient eu l’occasion, seront aussi héritiers du royaume céleste de Dieu (voir Doctrine et Alliances 137:7). De plus, même ceux dont la vie n’a pas été vaillante recevront un jour la bénédiction d’une existence supérieure à celle de cette vie (voir Doctrine et Alliances 76:89).

  5. Voir Conway B. Sonne, A Man Named Alma : The World of Alma Sonne, 1988, p. 83.

  6. Voir Sonne, A Man Named Alma, p. 84.

  7. Actes 10:34 ; voir « The Sinking of the World’s Greatest Liner », Millennial Star, 18 avril 1912, p. 250.

  8. Voir Millennial Star, 18 avril 1912, p. 250.

  9. Frère Sonne est l’oncle de L. Tom Perry.

  10. Voir Sonne, A Man Named Alma, p. 83.

  11. Voir Sonne, A Man Named Alma, p. 83-84 ; voir aussi « From the Mission Field », Millennial Star, 18 avril 1912, p. 254 : « Relèves et départs : Les missionnaires dont les noms suivent ont honorablement terminé leur mission et ont pris le Mauretania le 13 avril 1912 pour rentrer chez eux. Depuis la Grande-Bretagne : Alma Sonne, George B. Chambers, Willard Richards, John R. Sayer, F A. Dahle. Depuis les Pays-Bas : L. J. Shurtliff. »

  12. Voir Genèse 44:30-5, 34.

  13. Dans Frank Millward, « Eight elders missed voyage on Titanic », Deseret News, 24 juillet 2008, M6.

  14. Voir « Friend to Friend », Friend, mars 1977, p. 39.

  15. Voir David A. Bednar, « Les tendres miséricordes du Seigneur », Le Liahona, mai 2005, p. 99-102.

  16. Voir Doctrine et Alliances 59:21.

  17. Voir Alma 36:30.

  18. Doctrine et Alliances 42:44.

  19. Interview de Donald M. Corbett, petit-fils d’Irene Corbett le 30 octobre 2010 par Gary H. Cook.

  20. Doctrine et Alliances 122:7.

  21. Doctrine et Alliances 122:9.

  22. Alma 60:13.

  23. Le Sauveur a été clair qu’il arrivera « des scandales ; mais malheur à celui par qui ils arrivent ! » (Luc 17:1).

  24. La section 89 des Doctrine et Alliances, « l’ordre et la volonté de Dieu dans le salut temporel de tous les saints dans les derniers jours » (verset 2), est de plus en plus une bénédiction pour les membres de l’Église.

  25. Voir Doctrine et Alliances 42:22.

  26. voir « Will », Poetical Works of Ella Wheeler Wilcox, 1917, p. 129.

  27. Voir « L’Expiation », Prêchez mon Évangile : Guide du service missionnaire, 2004, p. 51-52.

  28. Voir « The Song That I Came to Sing », dans The Complete Poems of Rabrindanath Tagore’s Gitanjali éd. S. K. Paul, 2006, p. 64 : « J’ai passé ma vie à monter et à démonter les cordes de mon instrument tandis que le chant que j’étais venu chanter ne l’a jamais été. »

  29. Thomas Gray, « Elegy Written in a Country Church-Yard », dans The New Oxford Book of English Verse, éd. Christopher Ricks, 1999, p. 279.

  30. 1 Corinthiens 2:9.

  31. « Ce jour, au cœur j’ai du soleil », Cantiques, n°227. Le texte est tiré de la version anglaise (NdT).

  32. Doctrine et Alliances 101:16 ; voir aussi Psaumes 46:10.

  33. Doctrine et Alliances 101:18; voir aussi Doctrine et Alliances 45:71.