2012
Frères, nous avons une œuvre à accomplir
Novembre 2012


Frères, nous avons une œuvre à accomplir

Elder D. Todd Christofferson

Nous, hommes de la prêtrise, avons un rôle essentiel à jouer dans la société, au foyer et dans l’Église.

Frères, beaucoup a été dit et écrit ces dernières années au sujet des difficultés que rencontrent les hommes et les garçons. Voici, par exemple, quelques titres : Why There Are No Good Men Left, [Pourquoi il ne reste plus d’hommes bons], The Demise of Guys [La disparition des garçons], The End of Men [La fin des hommes], Why Boys Fail [Pourquoi les garçons échouent] et Manning Up [Agir comme des hommes]. Il est intéressant de noter que la plupart de ces livres ont été écrits par des femmes. En tout cas, le fil conducteur commun à ces analyses est que, dans beaucoup de sociétés modernes, les hommes et les garçons reçoivent des signaux contradictoires et humiliants sur leur rôle et leur valeur dans la société.

L’auteur de Manning Up le démontre de cette façon : « Cela a été une règle presque universelle de la civilisation que tandis qu’une fille devenait une femme simplement parce qu’elle atteignait la maturité physique, les garçons, eux, avaient une épreuve à passer. Ils devaient démontrer leur courage, leur prouesse physique ou la maîtrise des compétences nécessaires. L’objectif était de prouver leur capacité de protéger les femmes et les enfants ; c’était toujours leur rôle social fondamental. Mais aujourd’hui que les femmes s’affirment au sein d’une économie supérieure, les maris et pères soutiens de famille sont devenus facultatifs, et les traits de caractère dont les hommes avaient besoin pour jouer leur rôle, la détermination, le stoïcisme, le courage, la fidélité, sont surannés et sont même un peu embarrassants1. »

Dans leur zèle à créer des possibilités pour les femmes, ce que nous approuvons pleinement, certaines personnes dénigrent les hommes et leur contribution. On dirait qu’elles considèrent que la vie est une concurrence entre les hommes et les femmes, que l’un doit dominer l’autre, et que c’est maintenant au tour des femmes. Certains affirment qu’une carrière est essentielle et que le mariage et les enfants devraient être entièrement facultatifs. Donc, à quoi servent les hommes2 ? Dans trop de films hollywoodiens, d’émissions télévisées et même de publicités, les hommes sont dépeints comme étant incompétents, immatures ou égocentriques. Cette émasculation culturelle des hommes fait des dégâts.

Par exemple, aux États-Unis, on rapporte que : « Les filles réussissent maintenant mieux que les garçons, tous niveaux scolaires confondus, de l’école primaire jusqu’aux études supérieures. À la fin du premier cycle du secondaire, par exemple, seulement vingt pour cent des garçons savent écrire et vingt-quatre pour cent savent lire. En 2011, les résultats des jeunes hommes à l’examen d’entrée dans les universités américaines étaient les pires qu’on ait vus depuis quarante ans. Selon le Centre national des statistiques de l’éducation des États-Unis (NCES), les risques que les garçons interrompent leurs études pendant le lycée ou l’université sont supérieurs de trente pour cent à ceux des filles… Il est prédit que, d’ici 2016, les femmes empocheront soixante pour cent des licences universitaires, soixante-trois pour cent des maîtrises et cinquante-quatre pour cent des doctorats. Deux tiers des élèves inscrits dans les programmes de réinsertion scolaire sont des garçons3. »

Certains hommes et jeunes hommes trouvent dans ces signaux négatifs une excuse pour éviter d’assumer des responsabilités et pour ne jamais devenir réellement adultes. Un professeur d’université a fait la remarque suivante, trop souvent exacte : « Les garçons arrivent en classe avec leur casquette de baseball à l’envers et leur [piètre] excuse, ‘l’ordinateur a avalé mes devoirs’. Pendant ce temps, les filles consultent leur agenda et demandent des lettres de recommandation pour la faculté de droit4. » Une critique cinématographique a exprimé cette vision assez cynique que « ce qu’on peut attendre d’un homme, si on a de la chance et qu’on choisit d’avoir un partenaire, c’est exactement cela : un partenaire. Quelqu’un qui reste à sa place comme il respecte que nous restions à la nôtre5. »

Frères, il ne peut pas en être de même pour nous. Nous, hommes de la prêtrise, avons un rôle essentiel à jouer dans la société, dans le foyer et dans l’Église. Mais nous devons être des hommes à qui les femmes peuvent faire confiance, à qui les enfants peuvent faire confiance, à qui Dieu peut faire confiance. Dans l’Église et le royaume de Dieu en ces derniers jours, nous ne pouvons pas nous permettre d’avoir des garçons et des hommes qui dérivent. Nous ne pouvons pas nous permettre d’avoir des jeunes gens qui manquent de discipline personnelle et qui ne vivent que pour qu’on les amuse. Nous ne pouvons pas nous permettre d’avoir des jeunes adultes qui ne vont nulle part dans la vie, qui ne songent pas sérieusement à fonder une famille et à apporter une vraie contribution dans ce monde. Nous ne pouvons pas nous permettre d’avoir des maris et des pères qui négligent la direction spirituelle de leur foyer. Nous ne pouvons pas nous permettre d’avoir des hommes qui exercent la sainte prêtrise selon l’ordre du Fils de Dieu et qui épuisent leurs forces dans la pornographie ou passent leur temps dans le cyberespace (ironie des choses, étant du monde sans être dans le monde).

Frères, nous avons une œuvre à accomplir.

Jeunes gens, vous devez avoir de bons résultats à l’école et ensuite continuer vos études au-delà du lycée. Certains d’entre vous pourront poursuivre des études universitaires et des carrières dans le monde des affaires, l’agriculture, le gouvernement ou d’autres professions. Certains excelleront dans les arts, la musique ou l’enseignement. D’autres choisiront de faire une carrière militaire ou d’apprendre un métier manuel. Au fil des ans, un certain nombre d’artisans sont venus chez moi pour des projets ou des réparations. J’ai admiré le travail dur et le talent de ces hommes. Quoi que vous choisissiez, il est essentiel que vous deveniez compétents pour pouvoir subvenir aux besoins de votre famille et contribuer au bien de votre collectivité et de votre pays.

J’ai vu récemment une vidéo montrant une journée de la vie d’un jeune homme de quatorze ans en Inde qui s’appelle Amar. Il se lève tôt et travaille dans deux emplois, avant et après l’école, six jours et demi par semaine. Son salaire constitue une part importante des ressources de sa famille. La nuit tombée, sur son vélo usé, il se hâte de rentrer à la maison après son deuxième emploi et parvient à trouver quelques heures pour ses devoirs avant de tomber de fatigue sur son lit, à même le sol, entre deux frères endormis, aux environs de 23 heures. Bien que je ne l’aie jamais rencontré, je suis fier de lui pour sa diligence et son courage. Il fait de son mieux avec les moyens dont il dispose et il est une bénédiction pour sa famille.

Vous, les adultes : pères, adultes seuls, dirigeants, instructeurs au foyer, soyez des exemples dignes et aidez la génération montante de garçons à devenir des hommes. Enseignez-leur les compétences nécessaires dans la société, et d’autres : comment participer à une conversation, comment faire connaissance et interagir avec les autres, comment s’entendre avec les femmes et les filles, comment servir, comment être actif et se divertir, comment avoir des loisirs sans en être dépendant, comment corriger les erreurs et faire de meilleurs choix.

À tous ceux qui écoutent, où que vous soyez lorsque ce message vous parviendra, je dis ce que Jéhovah a dit à Josué : « Fortifie-toi et prends courage » (Josué 1:6). Prenez courage et préparez-vous, quelle que soit votre situation. Préparez-vous à être un bon mari et un bon père ; préparez-vous à être un citoyen bon et productif ; préparez-vous à servir le Seigneur, dont vous détenez la prêtrise. Où que vous soyez, votre Père céleste se soucie de vous. Vous n’êtes pas seul ; vous avez la prêtrise et le don du Saint-Esprit.

De tous les endroits où l’on a besoin de vous, l’un des plus importants est votre collège de la prêtrise. Nous avons besoin de collèges qui nourrissent spirituellement leurs membres le dimanche et qui servent également. Nous avons besoin de dirigeants de collège qui se concentrent sur l’œuvre du Seigneur et sur le soutien des membres du collège et de leur famille.

Pensez à l’œuvre missionnaire. Jeunes gens, vous n’avez pas de temps à perdre. Vous ne pouvez pas attendre d’avoir dix-sept ou dix-huit ans pour vous préparer sérieusement. Les collèges de la Prêtrise d’Aaron peuvent aider leurs membres à comprendre le serment et l’alliance de la prêtrise et à se préparer pour leur ordination à l’office d’ancien ; ils peuvent les aider à comprendre et à se préparer pour les ordonnances du temple et ils peuvent les aider à se préparer à réussir leur mission. Les collèges de la Prêtrise de Melchisédek et la Société de Secours peuvent aider les parents à préparer des missionnaires qui connaissent le Livre de Mormon et qui iront, pleinement engagés, dans le champ de mission. Dans chaque paroisse et chaque branche, ces mêmes collèges peuvent les former à travailler efficacement avec les missionnaires à plein temps qui œuvrent sur place.

Une tâche apparentée, qui repose essentiellement sur les épaules de la prêtrise, est l’appel du Seigneur, répété par Thomas S. Monson, à secourir les personnes qui se sont éloignées de l’Évangile ou qui ont perdu leur intérêt pour lui pour quelque raison que ce soit. Nous avons eu un succès merveilleux dans cet effort ; notamment un excellent travail a été fourni par les jeunes gens. Un collège de détenteurs de la Prêtrise d’Aaron de la paroisse espagnole de Rio Grande à Albuquerque (Nouveau Mexique, États-Unis), a tenu conseil pour parler des garçons qu’ils voulaient ramener et ils sont allés, en groupe, rendre visite à chacun d’eux. L’un des garçons a dit : « Quand ils sont venus à la porte, je me suis senti important », et un autre a confié : « Je suis heureux que quelqu’un veuille réellement que j’aille à l’église ; cela me donne maintenant envie d’y aller. » Quand ils ont invité l’un des garçons à revenir, les membres du collège lui ont demandé d’aller faire la prochaine visite avec eux, et il l’a fait. Ils ne se sont pas contentés de l’inviter à assister aux réunions de l’église, ils l’ont intégré immédiatement à la vie de leur collège.

Une autre œuvre difficile mais stimulante de la prêtrise est celle de l’histoire familiale et du temple. Guettez l’arrivée prochaine d’une lettre de la Première Présidence qui offrira un appel renouvelé et une vision plus élevée de cette partie essentielle de l’œuvre que nous avons à accomplir.

Nos collèges constituent aussi une fraternité de soutien mutuel. Gordon B. Hinckley a dit un jour : « Ce sera un jour merveilleux, mes frères, un jour où les desseins du Seigneur s’accompliront, lorsque nos collèges de la prêtrise deviendront un bastion pour tout homme qui y appartient, lorsque tout homme pourra dire à juste titre : ‘Je suis membre d’un collège de la prêtrise de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours. Je suis prêt à aider mes frères dans tous leurs besoins, comme je suis certain qu’ils sont prêts à m’aider dans les miens… En travaillant ensemble, nous pourrons résister sans embarras et sans crainte à tous les vents de l’adversité qui peuvent souffler, qu’ils soient économiques, sociaux ou spirituels6.’ »

Malgré tous nos efforts, tout ne marche pas toujours comme nous l’avons prévu, et un « vent d’adversité » qui peut survenir dans la vie d’un homme est le chômage. Comme le disait une ancienne brochure du service d’entraide de l’Église, « un homme sans emploi a une importance spéciale pour l’Église, parce que, privé de son patrimoine, il est mis à l’épreuve dans son intégrité, comme Job l’a été. Quand les jours se transforment en semaines et en mois, et même en années d’adversité, la blessure se fait plus profonde… L’Église ne peut espérer sauver un homme le dimanche si, pendant la semaine, elle assiste sans bouger à la crucifixion de son âme7. »

En avril 2009, l’ancien conseiller dans l’Épiscopat président, Richard C. Edgley a raconté l’histoire d’un collège exemplaire qui s’était mobilisé pour aider l’un de ses membres qui avait perdu son emploi :

« Le garage de Phil, à Centerville (Utah), témoigne de ce que les dirigeants de la prêtrise et un collège peuvent accomplir. Phil était membre d’un collège d’anciens et travaillait comme mécanicien dans un garage automobile de quartier. Malheureusement, ce garage a connu des difficultés économiques et a dû se séparer de Phil. Ce dernier a été complètement anéanti par la tournure de ces événements.

Apprenant la perte d’emploi de Phil, son évêque, Leon Olsen, et sa présidence de collège d’anciens ont prié pour trouver un moyen de l’aider à se remettre en selle. Après tout, c’était un membre du collège, un frère, et il avait besoin d’aide. Il ont conclu qu’il avait les capacités nécessaires pour gérer sa propre entreprise. L’un des membres du collège a dit qu’il avait une vieille grange qui pourrait peut-être servir d’atelier de réparation. D’autres membres du collège pouvaient l’aider à rassembler les outils et les fournitures nécessaires pour équiper son nouveau garage. Tous les membres du collège ou presque pouvaient au moins aider à nettoyer la vieille grange.

« Ils ont fait part de leurs idées à Phil puis ont présenté leur projet aux membres de leur collège. La grange a été nettoyée et rénovée, les outils ont été rassemblés et tout a été rangé. Le garage de Phil a rencontré un franc succès et a finalement déménagé dans un bâtiment plus adapté et définitif, tout cela parce que les frères de son collège lui avaient proposé de l’aide à un moment de crise8. »

Bien entendu, comme les prophètes l’ont répété au fil des ans, « la partie la plus importante de l’œuvre du Seigneur que vous pourrez accomplir sera celle que vous accomplirez dans votre foyer9. » Nous avons beaucoup à faire pour enseigner à nos enfants « à prier et à marcher en droiture devant le Seigneur » (D&A 68:28). Notre devoir n’est rien moins que d’aider nos enfants à éprouver le grand changement de cœur ou la conversion au Seigneur dont le Livre de Mormon parle avec tant d’éloquence (voir Mosiah 5:1–12 et Alma 26). Avec la Société de Secours, les collèges de la prêtrise peuvent édifier des parents et des mariages, et les collèges de la prêtrise peuvent apporter les bénédictions de la prêtrise aux familles monoparentales.

Oui, frères, nous avons une œuvre à accomplir. Merci des sacrifices et du bien que vous faites. Continuez, et le Seigneur vous aidera. Peut-être que vous ne savez pas exactement ce que vous devez faire ou ce que vous devez dire. Contentez-vous de commencer. Commencez à agir et le Seigneur promet qu’« une porte efficace [vous] sera ouverte » (D&A 118:3). Commencez à parler et il promet : « Vous ne serez pas confondus devant les hommes. Car ce que vous devez dire vous sera donné sur l’heure, oui, au moment même » (D&A 100:5–6). Il est vrai que nous sommes à de nombreux égards ordinaires et imparfaits, mais nous avons un Maître parfait qui a accomplit une expiation parfaite, et nous faisons appel à sa grâce et à sa prêtrise. Lorsque nous nous repentons et que nous purifions notre âme, nous avons la promesse d’être instruits et dotés de pouvoir d’en haut (voir D&A 43:16).

L’Église, le monde et les femmes ont un immense besoin d’hommes qui cultivent leurs compétences et leurs talents, qui sont disposés à travailler et à faire des sacrifices, et qui aideront les autres à atteindre le bonheur et le salut. Ils crient : « Levez-vous, O hommes de Dieu10 ! » Que Dieu nous aide à le faire, au nom de Jésus-Christ. Amen.

Notes

  1. Kay S. Hymowitz, Manning Up: How the Rise of Women Has Turned Men into Boys, 2011, p. 16.

  2. « Quand vous demandez aux jeunes gens d’aujourd’hui ce qui fera d’eux des adultes, presqu’aucun ne mentionne le mariage. Ils vont beaucoup plus vraisemblablement percevoir les éléments qui entourent le travail : terminer ses études, être indépendant financièrement, avoir un emploi à plein temps, comme indicateurs qu’ils sont arrivés. Le travail, la carrière, l’indépendance : telles sont les sources essentielles de l’identité d’aujourd’hui » (Hymowitz, Manning Up, p. 45). La pression mise sur les femmes pour qu’elles adoptent cette éthique anti-mariage est particulièrement intense. Une journaliste du Times de Londres écrit : « Personne, ni ma famille, ni mes professeurs, ne m’a jamais dit : ‘Ah oui, au fait, peut-être qu’un jour tu voudras aussi être épouse et mère.’ Ils étaient tellement déterminés à nous voir suivre un nouveau chemin, moderne et égalitaire que les ambitions historiques de générations de femmes (se marier et élever des enfants) étaient intentionnellement balayées de leur vision de l’avenir » (Eleanor Mills, « Learning to Be Left on the Shelf », The Sunday Times, 18 avril 2010, www.thetimes.co.uk, dans Hymowitz, Manning Up, p. 72).) Une autre écrivain quadragénaire cite certaines réponses à un article qu’elle a écrit sur ses regrets de ne jamais s’être mariée. « Je suis horrifiée que vous ayez besoin d’un homme, » « Où est votre amour-propre ? ! » « Vous avez poussé la codépendance jusqu’au trente-sixième dessous », et « Si ma fille en grandissant veut un homme à moitié autant que vous, je saurai que j’ai manqué quelque chose dans son éducation » (Lori Gottlieb, Marry Him : The Case for Settling for Mr. Good Enough, 2010, p. 55).

    La bonne nouvelle est que la plupart des gens, notamment des jeunes adultes instruits, n’adhèrent pas à ce message anti-mariage et anti-famille. « Selon une étude menée par un économiste de l’université de Pennsylvanie, en 2008, aux États-Unis, quatre-vingt-six pour cent des femmes blanches ayant fait des études supérieures étaient mariées avant quarante ans, comparé à quatre-vingt-huit pour cent pour celles qui avaient fait moins d’études. Le nombre d’hommes blancs ayant fait des études supérieures est similaire : quatre-vingt-quatre pour cent sont mariés avant quarante ans en 2008. La sagesse traditionnelle, non confirmée par la recherche, d’ailleurs, peut stipuler que le mariage n’est vraiment pas un cadeau pour les femmes. Mais les femmes blanches ayant fait des études supérieures ne semblent pas le croire. De tous les groupes, elles sont celles qui ont le plus tendance à penser que ‘les personnes mariées sont généralement plus heureuses que les personnes non mariées’… La grande majorité, soixante-dix pour cent des étudiants de première année d’études supérieures pensent qu’élever des enfants est ‘essentiel’ ou ‘très important’ pour leur avenir » (Hymowitz, Manning Up, p. 173–174).

  3. Philip G. Zimbardo et Nikita Duncan, The Demise of Guys: Why Boys Are Struggling and What We Can Do about It, 2012, e-book ; voir le chapitre « Behind the Headlines. »

  4. Barbara Dafoe Whitehead, Why There Are No Good Men Left: The Romantic Plight of the New Single Woman, 2003, p. 67.

  5. Amanda Dickson, « ‘Hunger Games’ Main Character a Heroine for Our Day », Deseret News, 2 avril 2012, www.deseretnews.com.

  6. Gordon B. Hinckley, « Responsabilités des collèges de la prêtrise en matière d’entraide », L’Étoile, avril 1978, p. 133.

  7. Helping Others to Help Themselves: The Story of the Mormon Church Welfare Program, Historical Department Archives, L’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, 1945, p. 4.

  8. Richard C. Edgley, « C’est votre appel téléphonique », Le Liahona, mai 2009, p. 53.

  9. Enseignements des présidents de l’Église : Harold B. Lee, 2000, p. 134.

  10. « Rise Up, O Men of God », Hymns, n 323.