« Comment faire de la Sainte-Cène une expérience plus enrichissante ? », Le Liahona, juin 2023.
Viens et suis-moi
Matthieu 26 ; Marc 14 ; Luc 22
Comment faire de la Sainte-Cène une expérience plus enrichissante ?
Ces chapitres du Nouveau Testament font le récit du Seigneur instituant la Sainte-Cène :
« Ensuite il prit du pain ; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna, en disant : Ceci est mon corps, qui est donné pour vous ; faites ceci en mémoire de moi.
« Il prit de même la coupe, après le souper, et la leur donna, en disant : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang, qui est répandu pour vous » (Luc 22:19-20).
Trois questions
Méditez sur les questions suivantes, posées par Russell M. Nelson : « Demandez-vous : ‘À quoi est-ce que je pense quand je prends la Sainte-Cène ? Est-ce que je me concentre vraiment sur l’expiation de Jésus-Christ ? Est-ce que je comprends l’ampleur de son sacrifice et la magnificence de mon avenir lorsque je prends sur moi le nom de Jésus-Christ et prends la résolution de respecter ses commandements ?’ » (« Reflection and Resolution », veillée de l’université Brigham Young, 7 janvier 1990], p. 6, speeches.byu.edu).
Trois choses à comprendre
Réfléchissez aux enseignements suivants de David O. McKay (1873-1970) sur trois éléments à retenir à propos de la Sainte-Cène :
« Le premier est le discernement personnel. C’est l’introspection. ‘Faites ceci en mémoire de moi’ [Luc 22:19], cependant, nous devons prendre la Sainte-cène dignement, en examinant chacun notre dignité.
« Deuxièmement, on contracte une alliance, une alliance plus encore qu’une promesse. […] Une alliance, une promesse, doit être aussi sacrée que la vie. Ce principe est implicite chaque dimanche quand nous prenons la Sainte-Cène.
« Troisièmement, il y a une autre bénédiction : la conscience de notre relation étroite avec le Seigneur. C’est l’occasion de communier avec soi et avec le Seigneur » (Enseignements des présidents de l’Église : David O. McKay, 2003, p. 38).