Œuvre généalogique
Relier les chaînons manquants… de chaque côté du voile.
Depuis 2016, nous avons pris l’habitude d’aller au temple avec notre paroisse lors du fameux voyage au temple annuel.
L’année dernière, après notre voyage au temple, qui était très fort émotionnellement en raison de notre scellement et de tout ce que j’ai ressenti durant ces quelques jours, j’ai décidé de rechercher dans toute la France des personnes qui portent le même nom de famille que moi.
J’en ai trouvé treize et j’ai pris contact avec ses personnes en leur envoyant une invitation Facebook et en les appelant par téléphone. J’ai eu de belles surprises à la clé !
Une de ces personnes vit à Saint-Étienne et fait également de la généalogie.
Une autre m’a répondu en se présentant comme étant une cousine de mon père. J’ai longuement discuté avec elle au téléphone et j’ai appris qu’elle était croyante et pratiquante dans une autre confession religieuse.
Pour faire une surprise à mon père, je l’ai invitée à la bénédiction de ma fille Erin. Elle a accepté et mon père et elle se sont retrouvés après plus de cinquante ans !
Ce jour-là, j’ai non seulement réellement compris l’importance du travail généalogique, mais aussi à quel point il était essentiel de retrouver sa famille vivante.
J’ai donc continué mes recherches et ai trouvé quatre-vingt-treize noms supplémentaires. Je dois prendre contact avec ces personnes dès à présent.
Le voyage au temple, de 2018 et cette expérience m’ont non seulement ouvert les yeux sur l’œuvre du temple, mais aussi sur l’œuvre familiale.
De nos jours, les familles sont grandes et disséminées dans notre pays, mais également à l’étranger. Nous devons les retrouver et nouer des liens familiaux avec elles.
Je témoigne de l’importance de l’œuvre familiale pour les morts accomplie dans les temples et de l’œuvre familiale pour les vivants. Nous ne pourrons jamais être sauvés sans nos ancêtres décédés et c’est à nous, membres de l’Église du Christ, qu’il incombe de relier tous les chaînons manquants.