Reconnaissant pour mon office dans la Prêtrise de Melchisédek
La question la plus importante de la vie est : qu’est-ce que le bonheur ? Immédiatement, deux choses me viennent à l’esprit : ce Ce qui est agréable à la vue et ce qui réjouit le cœur. Mais nous nous trompons certainement lorsque nous n’arrivons pas à percevoir les mains de Dieu dans ce qui est arrivé.
Huit jours après mon baptême, j’ai reçu la Prêtrise d’Aaron et j’avais très peur. Je savais ce que cela signifiait et quatre mois plus tard, le sept mars dernier, j’ai reçu la Prêtrise de Melchisédek, j’étais très heureux pour cet événement exceptionnel, puisque j’avais déjà là prêtrise supérieure quatre mois après mon baptême.
Donc, si seulement après quatre mois, j’ai pu recevoir cette précieuse autorité spirituelle de la part de l’évêque, avec l’approbation du président et le soutien de la congrégation, j’étais là dans le but d’apprendre et en même temps, développer de la discipline mentale avec l’aide des dirigeants, les ministres du Seigneur Jésus-Christ.
Je suis heureux, je ne peux pas le cacher, parce que je n’ai jamais pensé qu’en si peu de temps, ou plutôt en moins d’un an, que j’allais évoluer aussi rapidement en tant que membre de l’Église.
Recevoir ces deux prêtrises c’est reconnaître la majesté de Dieu et de Son Fils Bien-Aimé Jésus-Christ, ce qui implique par la même occasion de la diligence dans la dignité de la personne en question. Aussi bien la Prêtrise de Melchisédek que la Prêtrise d’Aaron, impliquent la stricte responsabilité de garder un corps en bonne santé et sain comme sanctuaire du Seigneur.
Recevoir les bénédictions et le pouvoir hautement spirituel de la Prêtrise de Melchisédek mettra à jamais dans mon esprit : comme le plan divin est admirable, soumis, en quelque sorte à l’homme, mais assurément avec une soumission absolue au Seigneur Jésus-Christ, pour recevoir dans Son Église une si merveilleuse ordination.
Je dois essayer d’être proche des anges, observé par les séraphins. Je dois être digne, et même digne de cette confiance que l’évêque et le Seigneur m’accordent. Je dois dominer mes paroles et mes pensées à chaque moment et en toutes circonstances, afin que je puisse faire ce qui est juste, à l’intérieur et à l’extérieur de la chapelle. Toujours être prêt à rendre des comptes spirituels au Seigneur. Que mes oreilles soient attentives à toute invitation de l’Esprit Saint.
Frère Arnel Jean Mary est membre de la Paroisse de Gazcue, Pieu de Saint-Domingue, République Dominicaine. Il a reçu la Prêtrise de Melchisédek cette année 2021.