La guérison de l’aveugle, tableau de Carl Heinrich Bloch

19 – 25 septembre

Ésaïe 40-49

« Consolez mon peuple »

Certaines personnes hésitent à participer en classe parce qu’elles pensent qu’elles ne connaissent pas suffisamment bien les Écritures. Comment allez-vous aider tous les membres de votre classe à sentir que leur clairvoyance spirituelle est précieuse ?

Notez vos impressions

Inviter à participer

Au tableau, écrivez une question telle que : Qu’avez-vous appris de l’Esprit lors de votre lecture d’Ésaïe 40-49 ? Encouragez les participants à méditer cette question et à écrire leurs réponses. Invitez certains d’entre eux à faire part de leurs pensées.

Enseigner la doctrine

Ésaïe 40-49

Jésus-Christ peut nous consoler et nous donner de l’espérance.

• Le canevas de cette semaine de Viens et suis-moi – Personnes et familles propose de rechercher des messages de consolation et d’espérance dans Ésaïe 40-49 et énumère certains d’entre eux comme base de réflexion. Demandez aux participants de dire ce qu’ils ont trouvé. Encouragez-les à expliquer en quoi ces messages ont aidé les Juifs en captivité et en quoi ils nous aident aujourd’hui. Indiquez-leur des passages que vous avez relevés lors de votre lecture personnelle. Qu’est-ce que le Seigneur veut que nous sachions de lui ? Comment nous console-t-il ? Rappelez aux participants que « l’Éternel » dans l’Ancien Testament fait référence à Jéhovah, ou Jésus-Christ.

• Le cantique « Quels fondements fermes » (Cantiques, n° 42) est tiré des paroles d’Ésaïe dans Ésaïe 41:10 ; 43:2-5 ; 46:4. Après avoir lu ces Écritures et chanté les versets appropriés du cantique, invitez les participants à évoquer les fois où ils ont senti le Seigneur à leurs côtés et la manière dont ces expériences les ont aidés à ne pas craindre.

« Comme un berger, il paîtra son troupeau » (Ésaïe 40:11).

Ésaïe 40:1-3, 9-11 ; 43:8-13 ; 48:20-21 ; 49:1-9

« Vous êtes mes témoins. »

• Que signifie être les « témoins » du Seigneur ? Demandez aux participants de méditer cette question tout en lisant un ou plusieurs des passages suivants : Ésaïe 40:1-3, 9-11 ; 48:20-21 ; 49:1-9. La déclaration qui se trouve dans la « Documentation supplémentaire » apportera également des réponses. Quelle est la « bonne nouvelle » dont nous faisons part en tant que témoins du Seigneur ? En quoi ces versets nous aident-ils à ne pas avoir peur de rendre notre témoignage ? (Voir Ésaïe 40:9.) Demandez aux participants de parler des occasions qu’ils ont d’être des témoins du Seigneur et de la manière dont leur témoignage fera du bien à d’autres personnes.

• Pour aider les participants à appliquer les enseignements qui se trouvent dans Ésaïe 43:8-13, proposez-leur d’imaginer qu’ils ont été appelés à la barre des témoins lors d’un procès au tribunal. Lors de ce procès, Jésus-Christ a été accusé d’avoir affirmé les propos qui se trouvent dans Ésaïe 43:11. Si nous étions appelés en tant que témoins en soutien des paroles de Jésus (voir le verset 10), quel témoignage apporterions-nous ? Quelles preuves tirées de notre vie présenterions-nous ?

Ésaïe 48:10 ; 49:13-16

Le Seigneur peut nous rendre meilleurs à travers l’adversité.

• Invitez les participants à discuter de la manière dont les mots de Quentin L. Cook nous aident à comprendre Ésaïe 48:10 : « Les qualités de la personnalité et la droiture qui sont forgées dans la fournaise de l’adversité nous perfectionnent [et] nous purifient » (« Les chants qu’ils n’ont pas pu chanter », Le Liahona, novembre 2011, p. 106). Demandez-leur également de discuter de la manière dont leur propre « fournaise de l’adversité » les a aidés à s’améliorer spirituellement. En quoi les paroles qui se trouvent dans Ésaïe 49:13-16 nous aident-elles lorsque nous sommes affligés ? Voir aussi la vidéo « Le feu du fondeur » (ChurchofJesusChrist.org).

Documentation supplémentaire

Être un témoin.

Margaret D. Nadauld a expliqué ce que signifie « être les témoins de Dieu en tout temps, et en toute chose, et dans tous les lieux » (Mosiah 18:9) :

« En étant un témoin de Dieu en tout temps, nous promettons d’aimer le Seigneur, de l’honorer tout le temps, jour et nuit, été et hiver, dans les bons et les mauvais moments, d’aimer le Seigneur et montrer cet amour par notre manière de vivre. […]

Être témoin en toutes choses signifie en toutes choses, les grandes et les petites, toutes les conversations, les plaisanteries, les jeux, les livres que nous lisons, la musique que nous écoutons, les causes que nous soutenons, les services que nous rendons, les vêtements que nous portons, les amis que nous nous faisons. […]

Pour finir, nous disons que nous serons témoins dans tous les lieux. Cela signifie non seulement dans les lieux publics, mais aussi en privé, en secret, dans les lieux sombres ou éclairés ; à l’église, à l’école, à la maison ou en voiture ; à la montagne ou à la plage ; dans la rue ou au parc. […]

En pensant à la magnificence du don [que le Sauveur] nous a fait, quelle petite chose allons-nous faire pour lui et pour notre Père céleste qui l’a envoyé ? Soyons des témoins de leur amour et de leurs enseignements en tout temps, en toutes choses, et dans tous les lieux » (voir « Témoins de Dieu », Le Liahona, juillet 2000, p. 114-116).

Améliorer notre enseignement

Favoriser un apprentissage diligent. « En fin de compte, ce sont les apprenants qui sont responsables de leur apprentissage. Réfléchissez à la manière dont vous les aiderez à accepter cette responsabilité et à s’en acquitter » (Enseigner à la manière du Sauveur, p. 29).