Les saints des derniers jours nous parlent
Je voulais lui serrer la main et lui parler
J’ai connu l’Église en 1985 et me suis fait baptiser la même année. Quelques mois plus tard, j’assistais à une conférence à Lisbonne, au cours de laquelle nous avons été instruits par Russell M. Nelson, alors membre du Collège des Douze.
Compte tenu de la distance – trois cent cinquante kilomètres – nous sommes partis la veille et avons passé la nuit dans un hôtel proche. Le soir, alors que je lisais les Écritures, le nom de frère Nelson me revenait sans cesse à l’esprit. Je voulais lui serrer la main et lui parler.
Je me suis donc levé tôt et, après m’être préparé, je me suis rendu sur le lieu de la conférence. Après avoir patienté un moment devant la porte d’entrée, frère Nelson est arrivé, seul. C’était une belle matinée ensoleillée et frère Nelson avait l’air heureux. J’ai pu lui serrer la main et parler un peu avec lui. J’ai alors ressenti avec force que je m’adressais à un apôtre du Seigneur.
Pendant la conférence, frère Nelson a prophétisé que le Portugal serait sous peu couvert de pieux.
Frère Nelson a contribué à fortifier ma foi et à faire grandir un peu plus mon témoignage. Il ne le sait pas, mais il compte beaucoup pour moi. Comme moi, beaucoup de membres de par le monde sont touchés par l’attitude et les paroles des apôtres.
Je suis tellement reconnaissant d’avoir un prophète et des apôtres semblables à ceux qui vivaient à l’époque du Christ, qui nous aident à devenir meilleurs et nous guident en ces derniers jours dans un monde turbulent !