2021
Célébration de la disponibilité du Livre de Mormon en Amharique et IsiXhosa
Décembre 2021


Ce mois dans l’histoire de l’Église

Célébration de la disponibilité du Livre de Mormon en Amharique et IsiXhosa

En décembre 2000, les traductions du Livre de Mormon en amharique (langue parlée en Éthiopie et en Érythrée) et en xhosa (langue parlée en Afrique du Sud), ont été publiées pour la première fois.

S’exprimant en janvier 2001, Gemechu Wariyo Goja, président de la branche d’Addis-Abeba (Éthiopie), a dit : « Aujourd’hui, je suis devenu le premier Éthiopien, membre de l’Église, à recevoir le Livre de Mormon écrit en amharique, et je suis très, très heureux. Lorsque j’ai distribué les premiers exemplaires aux membres avec qui j’ai collaboré dans la traduction du Livre de Mormon, tout le monde a applaudi et s’est mis à sautiller de joie. J’ai amené mon exemplaire à la maison, et ma famille s’est réunie avec empressement autour du Livre, le lisant les uns aux autres en amharique. Il est merveilleux. »

Plus tôt la même année, le Livre de Mormon avait été traduit en Swahili, permettant ainsi aux membres de l’Église partout en Afrique de l’Est de le lire dans leur langue. En Tanzanie, William Gideme, président de la branche de Chang’ombe, dit : « Enfin, je peux lire le Livre de Mormon à toute ma famille avec une compréhension complète. Je suis très reconnaissant. »

En décembre 2000, les versions linguistiques jamais réalisées ont atteint un nombre historique de 100 langues. Soixante-et-une d’entre elles sont des traductions complètes du Livre de Mormon ; 39 sont des traductions des certains chapitres choisis. Beaucoup de membres de l’Église en Afrique sont maintenant dans la joie de lire le Livre de Mormon dans leurs propres langues.

Sa traduction en plusieurs langues promet aussi d’accroitre les chances de réussite de l’œuvre missionnaire dans des zones où le Livre de Mormon n’était pas accessible aux amis de l’Église auparavant. Un missionnaire servant en Éthiopie a dit au président Gemechu : « Nous allons être beaucoup plus occupés maintenant. » – Julie Brough, Missionnaire de l’histoire de l’Église dans l’interrégion d’Afrique Centrale

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