Le miracle de la prière

Sœur Rose a été baptisée en Juillet 2010 à Abidjan avant la crise dans la Côte d’Ivoire. A cause de la situation à l’époque, elle s’est déplacée jusqu’à Tabou. Elle a déménagé à Bouafle en 2014 avec son mari. Elle a perdu contact avec l’église et pour un bon moment elle fréquentait d’autre communauté religieuse chrétienne. Vers la fin de l’année dernière 2023 elle a décidé d’arrêter complètement. Elle savait qu’il y avait quelque chose qui manquait. Elle a fait une prière que si Le Seigneur voulait qu’elle se retrouve au bon endroit Il doit la montrer le chemin. Cette prière était sincère. Le 14 Juin 2024, les missionnaires étaient en train de planifier leur journée. Ils appelaient des amis et membres. Ils voulaient partir chez une sœur Rose. Ils pensaient avoir son numéro sur leur téléphone. Après 30 secondes c’était évident que ce n’était pas la Sœur Rose qu’ils cherchaient, mais c’était la sœur Rose que le Seigneur avait préparé pour la journée. Ils ont appris aussi qu’elle travaillait pas loin de chez eux. Après 5 minutes et un appel très court, ils étaient assis à côté d’elle partageant une écriture dans le Livre de Mormon. Ils étaient tous contents. Sœur Rose savait que c’était la réponse à sa prière. Après toutes ces années, le Seigneur l’a jamais oublié. Sœur Rose a perdu son cher mari l’année dernière. Elle s’est retourné pleinement à l’église et se prépare pour aller au temple afin d’accomplir les ordonnances pour son mari.

Sœur Rose : Je ne sais même pas quand j’ai donné mon numéro aux missionnaires, mais dès qu’ils m’ont appelé et m’ont dit qu’ils étaient les missionnaires, j’ai su que c’était une réponse à ma prière.

Elder Asuma-Perprem : C’était venu à un moment où je me sentais très découragé. Mais ce jour là j’ai su que Le Seigneur est dans les détails. Il avait répondu à la prière de Sœur Rose et ma prière aussi. Il n’y a rien au hasard.

Elder Arbon : Cette expérience m’a témoigné que le Seigneur dirige réellement son œuvre. Il est à la tête de cette œuvre et nous ne sommes que des instruments entre ses mains. Ce n’était rien de moins qu’un miracle.