Réponses des dirigeants de l’Église
Comment trouver la joie
Extrait d’un discours de la conférence générale d’octobre 1991.
Mes frères et sœurs, jeunes et moins jeunes, je supplie chacun d’entre vous de se rappeler que l’iniquité n’a jamais été le bonheur et que le péché conduit à la misère. Jeunes gens, ne recherchez pas le bonheur dans les choses clinquantes mais creuses du monde. On ne peut parvenir au bonheur durable en recherchant ce qui n’en vaut pas la peine. Quelqu’un a dit : « On n’a jamais assez de ce dont on n’a pas besoin, parce que ce dont on n’a pas besoin n’apporte pas la satisfaction. »
Jeunes et moins jeunes, détournez vos regards et votre cœur des messages trompeurs des médias. Il n’y a pas de bonheur dans l’alcool ni dans la drogue, il n’y a qu’asservissement. Il n’y a pas de bonheur dans la violence, il n’y a que souffrance et chagrin. Il n’y a pas de bonheur dans les rapports sexuels et les contacts physiques intimes en dehors des liens du mariage, il n’y a que dégradation et accélération vers la mort spirituelle.
Il n’y a pas de bonheur durable dans ce que nous possédons. Le bonheur et la joie découlent de ce que l’on est, non de ce que l’on a ou semble être. Jeunes, restez fidèles à vos principes. Étudiez et utilisez la brochure Jeunes, soyez forts, qui contient des conseils salutaires.
La droiture appelle la droiture. Les effets des exemples de droiture se font sentir pendant des générations. Les enfants de bons parents deviennent de bons parents. Tout comme beaucoup d’entre nous ont été fortifiés par le noble exemple de nos ancêtres pionniers dans de nombreux pays, de même les bons choix et les sacrifices d’aujourd’hui peuvent bénéficier à nos enfants, à nos amis et à notre pays jusqu’à la fin des temps.
Je vous témoigne du bonheur durable et de la joie suprême des personnes qui exercent leur foi en Dieu et respectent ses commandements. J’exhorte chacun de vous à rechercher la joie qu’on connaît en observant les commandements de Dieu et en exerçant une bonne influence pour le bien des personnes que l’on aime.