2018
Chapitre 5 : Tout est perdu
Juillet 2018


Tout est perdu

Voici le cinquième chapitre de la nouvelle histoire de l’Église en quatre tomes intitulée Saints : histoire de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours. Le livre sera disponible en version imprimée dans quatorze langues, dans la rubrique Histoire de l’Église de l’application Bibliothèque de l’Évangile, et en ligne sur le site saints.lds.org. Les prochains chapitres seront publiés dans les magazines à venir jusqu’à ce que le tome 1 paraisse plus tard cette année. Ces chapitres seront disponibles dans quarante-sept langues dans l’application Bibliothèque de l’Évangile et sur le site saints.lds.org.

Pages traduites
Joseph Smith being comforted by his parents

Le poids dévastateur des cent seize pages perdues, par Kwani Povi Winder

Après que Joseph eut rapporté les plaques d’or chez lui, des chercheurs de trésors tentèrent pendant des semaines de les lui dérober. Pour préserver les annales, il devait sans cesse les déplacer, les cachant sous le foyer de la cheminée, sous le plancher de l’atelier de son père, et dans des piles de grain. Il ne devait jamais baisser sa garde.

Des voisins curieux s’arrêtaient à la maison et le suppliaient de leur montrer les plaques. Joseph refusait systématiquement, même lorsque quelqu’un lui offrit de le payer. Il était décidé à en prendre soin, confiant en la promesse du Seigneur que s’il faisait tout son possible, elles seraient protégées1.

Ces interruptions l’empêchaient souvent d’examiner les plaques et d’en apprendre davantage sur l’urim et le thummim. Il savait que les interprètes étaient censés l’aider à traduire les plaques, mais il n’avait jamais utilisé de pierres de voyant pour lire une langue ancienne. Il était pressé de commencer l’œuvre, mais il ne savait pas vraiment comment s’y prendre2.

Tandis qu’il étudiait les plaques, Martin Harris, propriétaire terrien respecté de Palmyra, s’intéressa à son projet. Martin était suffisamment âgé pour être le père de Joseph et il l’avait parfois embauché pour l’aider sur ses terres. Il avait entendu parler des plaques d’or, mais n’y avait pas prêté grande attention jusqu’à ce que la mère de Joseph lui propose de discuter avec son fils3.

Celui-ci travaillait ailleurs lorsque Martin passa ; il interrogea donc Emma et d’autres membres de la famille au sujet des plaques. Lorsque Joseph fut de retour, Martin l’attrapa par le bras et demanda d’autres détails. Joseph lui parla des plaques d’or et des instructions qu’il avait reçues de Moroni de les traduire et d’en publier le contenu.

Martin dit : « Si c’est l’œuvre du diable, je ne veux pas y être mêlé. » Mais si c’était l’œuvre du Seigneur, il voulait aider Joseph à la proclamer au monde.

Joseph lui permit de soupeser les plaques dans le coffre. Il sentit bien qu’il y avait là quelque chose de lourd, mais il n’était pas convaincu qu’il s’agissait d’un jeu de plaques d’or. Il dit à Joseph : « Ne m’en veux pas de ne pas te croire. »

Lorsqu’il rentra chez lui après minuit, il pénétra sans bruit dans sa chambre et pria, promettant à Dieu de donner tout ce qu’il possédait pour savoir si Joseph faisait une œuvre divine.

Pendant qu’il priait, il sentit une petite voix douce parler à son âme. Il sut alors que les plaques venaient de Dieu, et il sut qu’il devait aider Joseph à diffuser leur message4.

Vers la fin de l’année 1827, Emma apprit qu’elle était enceinte et écrivit à ses parents. Elle était mariée depuis près d’un an, et son père et sa mère étaient encore mécontents. Mais les Hale acceptèrent de laisser le jeune couple revenir à Harmony afin qu’Emma puisse accoucher près de sa famille.

Bien que cela l’éloignât de ses parents et de ses frères et sœurs, Joseph avait hâte de partir. Il y avait encore des gens à New York qui essayaient de voler les plaques et l’emménagement dans un nouvel endroit lui donnerait la paix et la discrétion dont il avait besoin pour faire l’œuvre du Seigneur. Malheureusement, il était endetté et n’avait pas d’argent pour le déménagement5.

Espérant remettre de l’ordre dans ses finances, Joseph alla en ville régler certaines de ses dettes. Pendant qu’il était dans un magasin pour un paiement, Martin Harris s’avança vers lui. Il dit : « Tenez, M. Smith, voici cinquante dollars. Je vous les donne pour faire l’œuvre du Seigneur. »

Joseph fut gêné d’accepter l’argent et promit de le rembourser, mais Martin lui dit de ne pas s’en inquiéter. L’argent était un cadeau, et il prit toutes les personnes présentes à témoin qu’il le lui avait donné librement6.

Peu après, Joseph remboursa ses dettes et chargea son chariot. Emma et lui partirent pour Harmony avec les plaques d’or cachées dans un tonneau de haricots7.

Environ une semaine plus tard, le couple arriva dans la maison spacieuse des Hale8. Peu de temps après, le père d’Emma exigea de voir les plaques d’or, mais Joseph dit qu’il ne pouvait lui montrer que le coffre où il les conservait. Agacé, il le souleva, le soupesa, mais demeura néanmoins sceptique. Il dit à Joseph qu’il ne pouvait pas le garder dans la maison s’il ne lui en montrait pas le contenu9.

Avec le père d’Emma autour d’eux, il n’était pas facile de traduire, mais Joseph fit de son mieux, et avec l’aide d’Emma, il recopia de nombreux caractères étranges sur du papier10. Puis, pendant plusieurs semaines, il essaya de les traduire avec l’urim et le thummim. Il ne suffisait pas de regarder dans les interprètes. Il devait se montrer humble et faire preuve de foi pendant qu’il étudiait les caractères11.

Quelques mois plus tard, Martin vint à Harmony. Il dit qu’il sentait que le Seigneur l’appelait à aller jusqu’à New York afin de consulter des experts en langues anciennes. Il espérait que ceux-ci pourraient traduire les caractères12.

Joseph copia plusieurs autres caractères des plaques, écrivit sa traduction et remit le papier à Martin. Emma et lui regardèrent leur ami prendre la direction de l’est pour consulter d’éminents savants13.

facsimile of characters from the Book of Mormon

Facsimilé des caractères des plaques du Livre de Mormon

Lorsque Martin arriva à New York, il alla voir Charles Anthon, professeur de latin et de grec à l’université de Columbia. C’était un jeune homme (environ quinze ans de moins que Martin) surtout célèbre pour sa publication d’une encyclopédie populaire sur les cultures grecque et romaine. Il avait également commencé à rassembler des histoires au sujet des Amérindiens14.

Anthon était un érudit inflexible qui n’appréciait pas les interruptions, mais il fit bon accueil à Martin et étudia les caractères et la traduction que Joseph avait fournis15. Bien qu’il ne connût pas l’égyptien, le professeur avait lu des études sur la langue et savait à quoi elle ressemblait. En regardant les caractères, il vit des similarités avec l’égyptien et dit à Martin que la traduction était correcte.

Ce dernier lui montra d’autres caractères et il les examina. Il dit que les caractères étaient issus de plusieurs langues anciennes et donna à Martin un certificat attestant de leur authenticité. Il lui recommanda également de les montrer à un autre spécialiste nommé Samuel Mitchill, qui enseignait autrefois à Columbia16.

Anthon dit : « Il est très instruit dans ces langues anciennes, et je suis certain qu’il vous donnera satisfaction17. »

Martin plaça le certificat dans sa poche et, au moment de partir, Anthon le rappela. Il voulait savoir comment Joseph avait trouvé les plaques d’or.

Martin dit : « Un ange de Dieu le lui a révélé. » Il témoigna que la traduction des plaques changerait le monde et le sauverait de la destruction. Et maintenant qu’il avait la preuve de leur authenticité, il avait l’intention de vendre sa ferme et de donner l’argent afin que la traduction puisse être publiée.

Anthon dit : « Montrez-moi ce certificat. »

Martin le prit dans sa poche et le lui donna. Anthon le déchira en petits morceaux et dit que le ministère d’anges n’existait pas. Si Joseph voulait que les plaques soient traduites, il pouvait les apporter à Columbia et le faire faire par un spécialiste.

Martin expliqua qu’une partie des plaques était scellée et que Joseph n’était pas autorisé à les montrer à qui que ce soit.

Anthon dit : « Je ne peux pas lire un livre scellé. » Il avertit Martin que Joseph était probablement en train de le duper. Il dit : « Prenez garde à la canaille18. »

Martin prit congé du professeur Anthon et rendit visite à Samuel Mitchill. Ce dernier reçut Martin poliment, écouta son histoire et regarda les caractères et la traduction. Il ne les comprenait pas, mais il dit qu’ils lui rappelaient les hiéroglyphes égyptiens et étaient les écrits d’une nation disparue19.

Martin quitta la ville peu de temps après et retourna à Harmony, plus convaincu que jamais que Joseph avait des plaques d’or antiques et le pouvoir de les traduire. Il raconta à Joseph ses entretiens avec les professeurs et en déduisit que si certains des hommes les plus instruits des États-Unis ne pouvaient pas traduire le livre, c’était à Joseph de le faire.

Joseph dit : « Je ne peux pas, car je ne suis pas instruit. » Mais il savait que le Seigneur avait préparé les interprètes afin qu’il puisse traduire les plaques20.

Martin acquiesça. Il décida de retourner à Palmyra, de régler ses affaires et de revenir dès que possible pour servir de secrétaire à Joseph21.

Smith home in Harmony

Maison de Joseph et Emma Smith à Harmony (Pennsylvanie)

En avril 1828, Emma et Joseph vivaient dans une maison au bord de la Susquehanna, non loin de la maison des parents d’Emma22. Maintenant dans sa grossesse avancée, elle servait souvent de secrétaire à Joseph lorsqu’il commença à traduire les annales. Un jour, pendant qu’il traduisait, il pâlit soudain. Il demanda : « Emma, y avait-il un mur autour de Jérusalem ? »

« Oui », dit-elle, se souvenant de descriptions dans la Bible.

« Oh ! » dit Joseph avec soulagement, « j’ai eu peur d’avoir été trompé23. »

Emma s’étonna que l’absence de connaissances de son mari en histoire et dans les Écritures n’empêche pas la traduction. Joseph pouvait difficilement rédiger une lettre cohérente. Pourtant heure après heure elle était assise près de lui pendant qu’il dictait le document sans l’aide d’aucun livre ou manuscrit. Elle savait que seul Dieu pouvait l’inspirer pour traduire comme il le faisait24.

Plus tard, Martin revint de Palmyra et prit la relève comme secrétaire, offrant à Emma la possibilité de se reposer avant l’arrivée du bébé25. Mais se reposer s’avéra une chose compliquée. Lucy, la femme de Martin, avait insisté pour l’accompagner à Harmony, et tous deux avaient du caractère26. Lucy se méfiait du souhait de Martin de vouloir soutenir Joseph financièrement et lui en voulait d’être parti sans elle à New York. Lorsqu’il lui apprit qu’il allait à Harmony aider Joseph à la traduction, elle s’invita, déterminée à voir les plaques.

Lucy perdait l’ouïe et lorsqu’elle ne comprenait pas ce que les gens disaient, elle supposait qu’ils la critiquaient. Elle n’avait pas non plus un grand respect pour la vie privée des autres. Lorsque Joseph refusa de lui montrer les plaques, elle commença à fouiller la maison, furetant dans les coffres, les placards et les malles de la famille. Bientôt, Joseph n’eut pas d’autre solution que de les cacher dans les bois27.

Peu après, Lucy quitta la maison et fut logée chez un voisin. Emma récupéra ses coffres et ses placards, mais maintenant Lucy racontait aux voisins que Joseph cherchait à soutirer de l’argent à Martin. Après avoir causé des ennuis pendant des semaines, Lucy rentra chez elle à Palmyra.

Une fois la paix retrouvée, Joseph et Martin traduisirent rapidement. Joseph progressait dans son rôle divin de voyant et révélateur. Regardant dans les interprètes ou une autre pierre de voyant, il pouvait traduire les plaques, qu’elles soient posées sur la table devant lui ou enveloppées dans l’une des nappes d’Emma28.

Pendant les mois d’avril, de mai et le début du mois de juin, Emma écouta le rythme de la dictée des annales par Joseph29. Il parlait lentement, mais clairement, faisant occasionnellement des pauses en attendant que Martin dise « écrit » lorsqu’il avait fini de noter ce que Joseph avait dit30. Emma relayait aussi Martin et s’étonnait de la manière dont Joseph, après les interruptions et les pauses, reprenait toujours là où il avait arrêté, sans le moindre rappel31.

Le moment de la naissance du bébé d’Emma approchait. La liasse de manuscrits s’était épaissie, et Martin était persuadé que s’il faisait lire la traduction à sa femme, elle en verrait la valeur et cesserait d’interférer dans leur travail32. Il espérait également que Lucy serait contente de voir qu’il avait consacré son temps et son argent à la parution de la parole de Dieu.

Un jour, Martin demanda à Joseph la permission d’emporter le manuscrit à Palmyra pendant quelques semaines33. Se souvenant du comportement de Lucy Harris lorsqu’elle avait passé la maison en revue, Joseph se méfiait de l’idée. Cependant, il voulait faire plaisir à Martin, qui avait cru en lui quand tant d’autres avaient douté de ses paroles34.

Ne sachant quoi faire, Joseph pria pour être guidé, et le Seigneur lui dit de ne pas laisser Martin emporter les pages35. Mais ce dernier était certain qu’en les montrant à sa femme, cela changerait les choses, et il supplia Joseph de redemander. Il le fit, mais la réponse fut la même. Martin le pressa de demander une troisième fois, et cette fois-ci, Dieu leur permit de faire à leur guise.

Joseph dit à Martin qu’il pouvait emporter les pages pendant deux semaines s’il faisait alliance de les garder sous clé et de ne les montrer qu’à certains membres de sa famille. Martin promit et retourna à Palmyra, le manuscrit à la main36.

Après le départ de Martin, Moroni apparut à Joseph et lui reprit les interprètes37.

Le lendemain, Emma accoucha dans des douleurs atroces et donna naissance à un garçon. Le bébé était frêle et chétif et il ne vécut pas longtemps. Après cette épreuve, Emma fut épuisée physiquement et dévastée émotionnellement, et pendant un certain temps, il semblait qu’elle aussi allait mourir. Joseph était constamment aux petits soins pour elle, ne quittant jamais bien longtemps son chevet38.

Au bout de deux semaines, la santé d’Emma commença à s’améliorer et elle se mit à penser à Martin et au manuscrit. Elle dit à Joseph : « Je me sens tellement mal à l’aise que je n’arrive pas à me reposer et je ne serai soulagée que quand je saurai ce qu’en a fait M. Harris. »

Elle incita Joseph à aller voir Martin, mais il ne voulait pas la quitter. Elle dit : « Fais venir ma mère et elle restera avec moi pendant que tu seras parti39. »

Joseph prit une diligence en direction du nord. Il mangea et dormit peu pendant le voyage, craignant d’avoir offensé le Seigneur en n’obéissant pas lorsqu’il avait dit de ne pas laisser Martin prendre le manuscrit40.

Le soleil commençait à poindre lorsqu’il arriva chez ses parents, à Manchester. Les Smith préparaient le petit déjeuner et invitèrent Martin à se joindre à eux. À 8 h, le repas était sur la table, mais Martin n’arrivait pas. Joseph et la famille commencèrent à éprouver un certain malaise en l’attendant.

Enfin, au bout de plus de quatre heures, Martin apparut au loin, marchant lentement en direction de la maison, les yeux fixés sur le sol devant lui41. Au portail il s’arrêta, s’assit sur la barrière, et baissa son chapeau sur ses yeux. Ensuite il entra et s’assit pour manger en silence.

La famille regarda Martin lorsqu’il prit ses couverts, comme s’il s’apprêtait à manger, et les laissa tomber. Les mains pressant ses tempes, il s’écria : « J’ai perdu mon âme ! J’ai perdu mon âme. »

Joseph se leva d’un bond. « Martin, avez-vous perdu ce manuscrit ? »

Martin dit : « Oui. Il a disparu et je ne sais pas où. »

Serrant les poings, Joseph gémit : « Oh, mon Dieu, mon Dieu. Tout est perdu ! »

Il commença à faire les cent pas. Il ne savait pas quoi faire. Il commanda à Martin : « Retournez-y. Cherchez encore. »

Martin s’écria : « C’est tout à fait inutile. J’ai cherché partout dans la maison. J’ai même éventré les matelas et les coussins, et je sais qu’il n’y est pas. »

« Dois-je retourner auprès de ma femme et lui annoncer une telle nouvelle ? » Joseph craignait que cela ne la tue. « Et comment vais-je me présenter devant le Seigneur ? »

Sa mère essaya de le réconforter. Elle dit que peut-être le Seigneur lui pardonnerait s’il se repentait humblement. Mais Joseph sanglotait maintenant, furieux contre lui-même de n’avoir pas obéi au Seigneur la première fois. Il put à peine manger le reste de la journée. Il passa la nuit là et repartit le lendemain matin pour Harmony42.

En le regardant partir, Lucy avait le cœur lourd. Il semblait que tout ce qu’ils avaient espéré en tant que famille, tout ce qui leur avait apporté de la joie ces quelques dernières années s’était volatilisé en un instant43.

Notes

  1. Joseph Smith, Histoire 1:59 ; Joseph Smith History, 1838-1856, tome A-1, p. 8, dans JSP, H1:236-238 (version 2) ; Lucy Mack Smith, History, 1844-1845, livre 6, p. [1]-[2] ; Knight, Reminiscences, p. 3.

  2. Knight, Reminiscences, p. 3-4 ; Lucy Mack Smith, History, 1844-1845, livre 6, p. [1]-[3] ; Joseph Smith History, vers l’été 1832, p. 1, dans JSP, H1:11.

  3. « Mormonism—No. II », Tiffany’s Monthly, août 1859, p. 167-168 ; Lucy Mack Smith, History, 1844-1845, livre 6, p. [3]-[4] ; Joseph Smith History, 1838-1856, tome A-1, p. 8, dans JSP, H1:238 (version 2). Sujet : Témoins du Livre de Mormon

  4. « Mormonism—No. II », Tiffany’s Monthly, août 1859, p. 168-170.

  5. Joseph Smith History, 1838-1856, tome A-1, p. 8-9, dans JSP, H1:238 (version 2) ; Knight, Reminiscences, p. 3 ; « Mormonism—No. II », Tiffany’s Monthly, août 1859, p. 170.

  6. Lucy Mack Smith, History, 1844-1845, livre 6, p. [6]; Lucy Mack Smith, History, 1845, p. 121.

  7. « Mormonism—No. II », Tiffany’s Monthly, août 1859, p. 170.

  8. « Mormonism—No. II », Tiffany’s Monthly, août 1859, p. 170 ; Joseph Smith History, 1838-1856, tome A-1, p. 9, dans JSP, H1:240 (version 2).

  9. Isaac Hale, Affidavit, 20 mars 1834, dans « Mormonism », Susquehanna Register, and Northern Pennsylvanian, 1er mai 1834, p. [1].

  10. Joseph Smith History, 1838-1856, tome A-1, p. 9, dans JSP, H1:240 (version 2) ; Knight, Reminiscences, p. 3.

  11. Lucy Mack Smith, History, 1844-1845, livre 6, p. [3] ; Joseph Smith History, 1838-1856, tome A-1, p. 9, dans JSP, H1:240 (version 2) ; « Letter from Elder W. H. Kelley », Saints’ Herald, 1 mars 1882, p. 68 ; voir aussi Doctrine et Alliances 9:7-8 (Revelation, avril 1829-D, sur josephsmithpapers.org).

  12. Joseph Smith History, vers l’été 1832, p. 5, dans JSP, H1:15 ; Knight, Reminiscences, p. 3. Sujet : Traduction du Livre de Mormon

  13. Joseph Smith History, 1838-1856, tome A-1, p. 9, dans JSP, H1:238-240 (version 2) ; Joseph Smith History, vers l’été 1832, p. 5, dans JSP, H1:15.

  14. MacKay, « Git Them Translated », p. 98-100.

  15. Bennett, « Read This I Pray Thee », p. 192.

  16. Joseph Smith History, 1838-1856, tome A-1, 9, dans JSP, H1:240 (version 2) ; Bennett, Journal, 8 août 1831, dans Arrington, « James Gordon Bennett’s 1831 Report on ‘The Mormonites’ », p. 355.

  17. [James Gordon Bennett], « Mormon Religion—Clerical Ambition—Western New York—the Mormonites Gone to Ohio », Morning Courier and New-York Enquirer, 1er septembre 1831, p. [2].

  18. Joseph Smith History, 1838-1856, tome A-1, p. 9, dans JSP, H1:240-242 (version 2) ; Jennings, « Charles Anthon », p. 171-187 ; Bennett, « Read This I Pray Thee », p. 178-216.

  19. Joseph Smith History, 1838-1856, tome A-1, p. 9, dans JSP, H1:244 (version 2) ; Bennett, Journal, 8 août 1831, dans Arrington, « James Gordon Bennett’s 1831 Report on ‘The Mormonites’ », p. 355 ; Knight, Reminiscences, p. 4. Sujet : Martin Harris consulte des savants

  20. Joseph Smith History, vers l’été 1832, p. 5, dans JSP, H1:15 ; Ésaïe 29:11-12 ; 2 Néphi 27:15-19.

  21. Lucy Mack Smith, History, 1844-1845, livre 6, p. [8] ; Joseph Smith History, 1838-1856, tome A-1, p. 9, dans JSP, H1:244 ; Joseph Smith III, « Last Testimony of Sister Emma », Saints’ Herald, 1er octobre 1879, p. 289-290.

  22. Joseph Smith History, 1838-1856, tome A-1, p. 9, dans JSP, H1:244 (version 2) ; Isaac Hale, Affidavit, 20 mars 1834, dans « Mormonism », Susquehanna Register, and Northern Pennsylvanian, 1 mai 1834, p. [1] ; Agreement with Isaac Hale, 6 avril 1829, dans JSP, D1:28-34.

  23. Briggs, « A Visit to Nauvoo in 1856 », p. 454 ; voir aussi Edmund C. Briggs to Joseph Smith, 4 juin 1884, Saints’ Herald, 21 juin 1884, p. 396.

  24. Joseph Smith III, « Last Testimony of Sister Emma », Saints’ Herald, 1er octobre 1879, p. 289-290 ; Briggs, « A Visit to Nauvoo in 1856 », p. 454.

  25. Joseph Smith History, 1838-1856, tome A-1, p. 9, dans JSP, H1:244 (version 2) ; Isaac Hale, Affidavit, 20 mars 1834, dans « Mormonism », Susquehanna Register, and Northern Pennsylvanian, 1 mai 1834, p. [1].

  26. Lucy Mack Smith, History, 1844-1845, livre 6, p. [8].

  27. Lucy Mack Smith, History, 1844-1845, livre 6, p. [3]-[5], [8]-[9].

  28. Lucy Mack Smith, History, 1844-1845, livre 6, p. [9]-[10] ; Joseph Smith III, « Last Testimony of Sister Emma », Saints’ Herald, 1 octobre 1879, p. 289-290.

  29. Dans un récit fait de mémoire, Emma Smith dit qu’elle travaillait dans la même pièce que Joseph et Oliver Cowdery lorsqu’ils finirent la traduction en 1829, et elle était probablement présente pour le travail de traduction réalisé par Joseph et Martin en 1828. (Joseph Smith III, « Last Testimony of Sister Emma », Saints’ Herald, 1er octobre 1879, p. 290.)

  30. William Pilkington, Affidavit, Cache County, UT, 3 avril 1934, dans William Pilkington, Autobiography and Statements, Bibliothèque d’histoire de l’Église ; « One of the Three Witnesses », Deseret News, 28 décembre 1881, p. 10.

  31. Briggs, « A Visit to Nauvoo in 1856 », p. 454 ; Joseph Smith III, « Last Testimony of Sister Emma », Saints’ Herald, 1er octobre 1879, p. 289-290.

  32. Voir Lucy Mack Smith, History, 1844-1845, livre 6, p. [10] ; Joseph Smith History, 1838-1856, tome A-1, p. 9, dans JSP, H1:244 ; Joseph Smith History, vers l’été 1832, p. 5, dans JSP, H1:15 ; Knight, Reminiscences, p. 5 et Historical Introduction to Preface to the Book of Mormon, vers août 1829, dans JSP, D1:92-93.

  33. Joseph Smith History, 1838-1856, tome A-1, p. 9, dans JSP, H1:244 (version 2) ; Lucy Mack Smith, History, 1844-1845, livre 6, p. [10].

  34. Lucy Mack Smith, History, 1844-1845, livre 6, p. [10]-[11] ; livre 7, p. [1].

  35. Joseph Smith History, vers l’été 1832, p. 5, dans JSP, H1:15.

  36. Joseph Smith History, 1838-1856, tome A-1, p. 9-10, dans JSP, H1:244-246 (version 2) ; Lucy Mack Smith, History, 1844-1845, livre 7, p. [1]; Knight, Reminiscences, p. 5.

  37. Joseph Smith History, 1838-1856, tome A-1, p. 9-10, dans JSP, H1:244-246 (version 2).

  38. Lucy Mack Smith, History, 1844-1845, livre 7, p. [1]-[2]. Sujet : La famille de Joseph et Emma Hale Smith

  39. Lucy Mack Smith, History, 1844-1845, livre 7, p. [1]-[2].

  40. Lucy Mack Smith, History, 1844-1845, livre 7, p. [2]-[4].

  41. Lucy Mack Smith, History, 1844-1845, livre 7, p. [5].

  42. Lucy Mack Smith, History, 1844-1845, livre 7, p. [5]-[7]. Sujet : Le manuscrit perdu du Livre de Mormon

  43. Lucy Mack Smith, History, 1844-1845, livre 7, p. [7]. Sujet : Lucy Mack Smith