2022
Ma mission pour l’histoire familiale : la paix du travail bien fait.
Février 2022


Œuvre missionnaire

Ma mission pour l’histoire familiale : la paix du travail bien fait.

J’ai commencé ma mission le 6 janvier 2020, et celle-ci se terminera le 6 janvier 2023.

C’est l’engagement que j’ai choisi. On ne peut faire qu’un an, si on le veut. Le Seigneur m’aime et j’ai décidé de le servir trois ans parce que je voulais servir mon Père céleste au mieux et le plus possible pour lui rendre grâce pour tous ses bienfaits à mon encontre…

En tant que missionnaire pour l’histoire familiale, nos tâches sont nombreuses et variées.

Nous avons un organigramme bien établi qui indique qui est qui et qui fait quoi. Les journées commencent à neuf heures et se terminent à dix-huit heures. Donc, comme tout missionnaire ou autre, on se lève, on prie, on prend soin de soi et l’on déjeune.

La matinée est consacrée à mon foyer, mais, mon premier geste : regarder la pensée spirituelle de notre responsable en soutien FAMILYSEARCH et voir les petits soucis qu’il peut y avoir.

Jusqu’à présent, il y avait une permanence téléphonique de neuf à dix-huit heures ; donc par exemple, de seize à dix-huit heures, je suis de permanence. Mais il faut être attentif au désistement possible d’un ou d’une collègue. On peut remplacer cette personne en plus de nos heures pour qu’il n’y ait pas de défaut de présence ; et c’est aussi une preuve d’amour envers notre collègue qui ne peut accomplir son service…

Pendant ce temps-là, nous répondons aux questions des usagers de FAMILYSEARCH et nous les aidons à atteindre leurs objectifs. Nous le faisons directement par téléphone, tchat ou nous envoyons une marche à suivre par courriel. Toutes nos actions sont transmises aux responsables qui nous aident si nous avons omis quelque chose ou ne l’avons pas comprise.

Nous ne sommes jamais seuls !!

J’ai aussi commencé à treize heures. Pendant trois ou quatre heures (cela dépend de ma force physique et mentale), je m’occupe de régulariser la localisation des lieux belges. Puisqu’on n’est pas seulement francophones, nous devons nous exprimer aussi en néerlandais, sans compter l’allemand et le luxembourgeois suivant la région…

Je finis ma journée à vingt et une heures, car après le repas du soir, je fais environ deux heures d’indexation !

Mais l’Esprit est toujours là !

Il m’accompagne chaque jour, et surtout quand nous avons nos réunions missionnaires quatre fois par mois. Comme dans toute réunion, chacun à notre tour, nous offrons la prière et une pensée spirituelle. Il y a beaucoup d’amour et de gentillesse entre nous !

Je suis bien en tant que missionnaire ; c’est un tout autre univers et une expérience merveilleuse où l’on ressent la paix du travail bien fait et où les soucis personnels passent vraiment en second plan parce que l’on ne recherche que la présence du Seigneur pour accomplir sa volonté !

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