Rendregrâce#
Sans ces efforts réels, je n’aurais pas pu voir s’accomplir les promesses que le Père m’avait faites
Comme Néphi, je peux dire que je suis né de bons parents et que j’ai été élevé dans un bon foyer où ceux-ci m’instruisaient pour m’apprendre à connaître mon Père céleste, son Fils Jésus-Christ, et le Saint-Esprit.
Encore aujourd’hui, quand je pense à la chance que j’ai eue de venir dans un tel foyer, j’éprouve une grande reconnaissance. Quel privilège de connaître toutes ces vérités dans un monde où les choses profanes comptent le plus maintenant !
Plus tard dans ma jeunesse, quand je suis allé voir le patriarche qui était à l’époque Yvon Vincent, il m’a parlé de ce corps en bonne santé que j’avais reçu de mon Père céleste, par l’intermédiaire de mes parents.
Encore une fois, j’ai éprouvé une grande reconnaissance. Pourtant cela ne m’a pas empêché très jeune d’avoir des crises d’asthmes qui me faisaient passer des nuits difficiles. Je les finissais souvent dans la position assise, car je n’arrivais presque pas à respirer en étant allongé. C’est dans ces moments précieux de ma vie que j’ai tissé des liens avec mon Père céleste. Durant ces longues nuits de souffrance, je lui parlais souvent pour qu’il m’apporte la guérison.
Il m’a fallu attendre plusieurs années, pour cela. Ce n’est que vers l’âge de dix-huit ans que cette maladie est partie soudainement.
Pourtant même avec ce handicap, j’ai toujours fait du sport dans ma jeunesse et sans m’en rendre compte, cela a contribué à ma guérison.
Je comprends mieux maintenant, que sans ces efforts réels dans ma vie, je n’aurais pas pu voir s’accomplir les promesses que le Père m’avait faites à travers ma bénédiction patriarcale.