Perfectionnement des saints
Responsable…
Le monde est globalement dans une confusion totale.
Il n’y a jamais eu autant de progrès et d’amélioration de nos conditions de vie et dans le même temps beaucoup semblent glisser vers une vie plus difficile, plus dure. Les réseaux sociaux nous offrent une occasion de parler instantanément à tous les peuples, ou presque, de jour comme de nuit, et pourtant nombreux sont ceux qui souffrent d’isolement, de solitude, d’absence de direction alors que leur téléphone est allumé en permanence et les systèmes GPS disponibles pour les conduire là où ils veulent aller.
Mais où veulent-ils aller ? Dans quelle direction ? Pour y faire quoi ? Pour rencontrer qui ? Pour servir qui ?
Les habitants de la terre, pour une bonne partie d’entre eux, ne le savent pas. Il y a pire : ils ne se posent même plus la question. Ils ont réussi à se perdre dans l’insouciance du lendemain, du futur et de là où ils vont se « poser » un jour.
Leur préoccupation est toute simple face à cette vie qui leur semble étrange et difficile : mais qui est responsable ? Ils ont tous une réponse, individuelle.
Pour certains, c’est l’État, pour d’autres les voisins, les parents, les enfants, le conjoint, la famille, l’entreprise, les études, l’économie, etc.
Pour beaucoup la réponse est, en réfléchissant au-delà de l’immédiat, le manque de respect, de prise en compte des autres, de partage, de solidarité, de soutien réciproque, disons-le d’amour…
En résumé, le responsable c’est « les autres ».
Au début du mois d’avril, un homme nous a donné la réponse. Pas n’importe quel homme, un prophète de Dieu, qui, dans la sagesse de sa quatre-vingt-dixième-neuvième année, nous a invités à considérer que nous sommes tous responsables de la qualité du monde dans lequel nous vivons. Il nous a dit simplement : ne critiquez pas les autres, ne vous énervez plus, aimez votre prochain, aidons-nous les uns les autres, soutenons-nous pour faire progresser tout le monde, et rendre tout le monde heureux.
Dans ce monde qui ne parle que de guerres entre les pays, à l’intérieur de certains pays, voir par certains comportements entre les hommes et les femmes dans des cercles encore plus restreints, je trouve que cet homme qui nous parle de paix, et seulement de la patience, de la tempérance, de l’amour pour les autres, nous donne une solution forte et tellement efficace !
Bien sûr certains diront que la solution est trop simple, elle ne repose pas sur de la géopolitique, elle n’est ni de droite, ni de gauche, elle n’a rien de numérique – quoique ! ! Dans de nombreuses situations la concrétisation de cette solution passe par une action numérique.
Je le dis comme je le pense profondément, cet homme mérite le prix Nobel de la Paix, tout simplement, pas pour le prix, mais pour que son message soit encore plus entendu.
Dans la session suivante, après nous avoir laissé réfléchir sur ses premières paroles, il vient de nouveau nous aider avec une autre solution simple mais si efficace : « La solution est en Jésus-Christ. »
Quel privilège, quelle bénédiction d’avoir un président de l’Église comme vous, président Nelson !
Votre perspective est éternelle et peut vraiment nous conduire auprès de notre Père.