Pais mes brebis, tableau de Kamille Corry

26 juin au 2 juillet

Matthieu 28 ; Marc 16 ; Luc 24 ; Jean 20-21

« Il est ressuscité »

Avant de vous plonger dans les idées pédagogiques de ce canevas, lisez Matthieu 28 ; Marc 16 ; Luc 24 et Jean 20-21, et réfléchissez à la façon d’utiliser ces chapitres pour fortifier la foi des personnes que vous instruisez.

Inviter à participer

Pour permettre aux membres de la classe de faire part de ce qu’ils ont appris au cours de leur étude personnelle et familiale, demandez-leur d’écrire une vérité tirée de la tâche de lecture de la semaine qui devrait, selon eux, être proclamée à « tout le monde » (voir Marc 16:15). À la fin de la leçon, demandez-leur s’ils ont trouvé d’autres vérités qu’ils aimeraient faire connaître.

Enseigner la doctrine

Matthieu 28 ; Marc 16 ; Luc 24 ; Jean 20

Parce que Jésus est ressuscité, nous ressusciterons nous aussi.

• Laissez quelques minutes aux membres de la classe pour revoir la tâche de lecture de la semaine et le mot « Résurrection » dans le Guide des Écritures, et pour noter les vérités qu’ils ont apprises sur ce thème. Demandez à certains d’entre eux de lire ce qu’ils ont écrit et demandez aux autres de lever la main s’ils entendent une vérité qui fait partie de celles qu’ils ont notées. Pourquoi ces vérités sont-elles importantes pour nous ? Quelle influence ont-elles sur nos relations ? Quelle influence ont-elles sur nos choix ?

Luc 24:13-35

Nous pouvons demander au Sauveur de « demeurer avec nous ».

• Pour permettre aux membres de la classe de voir la relation entre leurs expériences et celle des disciples sur le chemin d’Emmaüs, tracez une route au tableau et demandez-leur d’écrire les détails du récit qui se trouve dans Luc 24:13-35, d’un côté de la route. Demandez-leur ensuite d’écrire, de l’autre côté de la route, les points communs avec leurs propres expériences de disciples de Jésus-Christ. Par exemple, d’un côté, ils peuvent écrire « Leurs yeux étaient empêchés de le reconnaître » (Luc 24:16) et, de l’autre côté du chemin, Parfois, nous ne reconnaissons pas l’influence du Seigneur dans notre vie. Comment pouvons-nous demander au Sauveur de demeurer avec nous ?

Jésus a dit à Thomas : « Ne sois pas incrédule, mais crois » (Jean 20:27).

Jean 20:19-29

« Heureux ceux qui n’ont pas vu, et qui ont cru ! »

• Votre classe de l’École du Dimanche peut être un endroit dont ses membres fortifieront mutuellement leur foi en des choses qu’ils ne peuvent voir. Commencez en demandant à quelqu’un de résumer l’expérience de Thomas dans Jean 20:19-29. Montrez aussi la vidéo « Heureux ceux qui n’ont pas vu, et qui ont cru » (ChurchofJesusChrist.org). Les membres de la classe peuvent écrire au tableau une liste de choses que Dieu nous demande de croire sans voir. Demandez-leur ensuite de raconter des expériences qui ont renforcé leur témoignage de ces choses et des bénédictions qu’ils ont reçues lorsqu’ils ont exercé leur foi.

Jean21:1-17

Le Sauveur nous demande de paître ses brebis.

• Qu’est-ce qui pourrait aider les membres de votre classe à accepter l’invitation du Sauveur à paître ses brebis ? Commencez en leur demandant de lire en silence Jean 21:15-17, en remplaçant le nom de Simon par le leur et « mes brebis » par le nom de personnes à qui le Seigneur voudrait qu’ils rendent service comme, par exemple, les familles qui leur sont attribuées dans le cadre du service pastoral, leurs voisins ou des personnes qu’ils connaissent à l’école ou au travail. Après quelques minutes, ils pourraient dire ce qu’ils ont ressenti. Qu’apprenons-nous sur le Sauveur en lisant ce qu’il a fait dans Jean 21:4-13 ? Que pouvons-nous faire pour paître les agneaux et les brebis du Sauveur ? La citation de Gary E. Stevenson qui se trouve dans la « documentation supplémentaire » nous aidera à répondre à cette question.

Documentation supplémentaire

Comment pouvons-nous « [paître ses] brebis » ?

Gary E. Stevenson a expliqué comment nous pouvons accomplir le commandement du Seigneur de paître ses brebis :

« Qui est un berger ? Chaque homme, chaque femme et chaque enfant dans le royaume de Dieu est un berger. Il n’est pas nécessaire d’avoir un appel. Dès que nous sortons des eaux du baptême, nous sommes chargés d’accomplir cette œuvre. Nous tendons la main à nos semblables avec amour parce que notre Sauveur nous l’a commandé. […] Chaque fois que notre prochain est dans la détresse, temporellement ou spirituellement, nous accourons à son secours. Nous portons les fardeaux les uns des autres, afin qu’ils soient légers. Nous pleurons avec ceux qui pleurent. Nous consolons ceux qui ont besoin de consolation [voir Mosiah 18:8-9]. C’est ce que notre Seigneur aimant attend de nous. Et le jour viendra où il nous tiendra pour responsables de la manière dont nous aurons pris soin de son troupeau [voir Matthieu 25:31-46] » (« Être des bergers pour les âmes », Le Liahona, novembre 2018, p. 111).

Améliorer notre enseignement

Prévoyez du temps pour que les membres de la classe s’expriment. « Lorsque les élèves parlent de ce qu’ils apprennent, non seulement ils ressentent l’Esprit et affermissent leur témoignage, mais ils encouragent également d’autres membres de la classe à découvrir des vérités par eux-mêmes. […] Consacrez du temps à la communication dans chaque leçon ; dans certains cas, vous découvrirez que ces discussions sont la leçon » (Enseigner à la manière du Sauveur, p. 30).