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Nous vous présentons les sœurs qui viennent d’être appelées comme consultantes interrégionales des organisations dirigées par les sœurs
« Cette nouvelle position au sein de l’Église permet aux sœurs de tenir conseil avec les dirigeants de la prêtrise et former les organisations dirigées par les sœurs dans les pieux, les districts, les paroisses et les branches. »
Sept femmes dans l’interrégion d’Afrique Centrale ont été récemment appelées comme « Consultantes interrégionales des organisations dirigées par les sœurs ». Si vous pensez que vous n’avez jamais entendu parler de cet appel auparavant, c’est parce que vous n’en avez jamais entendu parler !
C’est une nouvelle position qui a été ajoutée à la structure organisationnelle de l’Église. Elle exhorte ces sœurs à participer aux conseils des dirigeants et à encadrer, former et soutenir les organisations dirigées par les sœurs dans toutes les interrégions.
Lisez la suite pour en savoir davantage sur les sept sœurs qui ont été appelées pour remplir ce tout nouveau rôle dans l’interrégion.
La sœur Njampou Claudelia Nankap est née à Brazzaville (République du Congo). Elle est devenue membre de l’Église à dix ans et a fait sa mission en République démocratique du Congo. À 33 ans maintenant, la sœur Nankap servait comme présidente de la Société de Secours dans sa branche avant cet appel.
La sœur Nankap dit que son but personnel dans son nouvel appel est de « servir le Seigneur par mes actes vis-à-vis des autres ; d’être leur amie et leur fidèle conseillère », dit-elle. « Je vois ça comme une occasion de m’améliorer et de devenir une véritable disciple du Christ en m’engageant dans cette grande œuvre. Je me sens plus reconnaissante que jamais ! »
En servant, la sœur Nankap est inspirée par l’exemple de ses prédécesseurs, particulièrement son père. « Il était un vrai exemple d’humilité, de dévouement et de persévérance : des principes qui m’aideront certainement dans mon appel », dit-elle.
Dans son nouveau rôle, « J’ai hâte de rencontrer les autres enfants de notre Père céleste qui pourraient être en train de traverser les mêmes difficultés que moi », dit-elle. « J’ai hâte de voir des bénédictions dans ma vie et dans celle des autres : parce que c’est si merveilleux de voir ce que l’Évangile peut apporter dans la vie d’une personne. Et j’ai aussi hâte de travailler avec les Autorités générales de l’Église. C’est un grand honneur et je me sens très petite ! »
La sœur Kabongo Angelique Tarr est née à Mwene-Ditu au Kasaï-Oriental (République démocratique du Congo). Elle a 58 ans et a été baptisée il y a plus de trente ans alors qu’elle avait 25 ans. Elle et son mari ont cinq enfants et un petit-enfant. Avant cet appel, elle servait comme consultante de la Société de Secours auprès des sœurs Jeunes Adultes Seules dans sa paroisse.
« Mon but dans mon nouvel appel est – par mon exemple – d’aider les auxiliaires de la Société de Secours, les Jeunes Filles et la Primaire à cultiver l’amour envers les personnes que nous dirigeons et servons afin de les amener au Christ », dit-elle.
Les enseignements des Autorités générales, et les ordonnances du temple, où elle et sa famille ont été scellées, l’inspirent à toujours devenir une meilleure personne.
En servant, la sœur Tarr dit qu’elle a hâte non seulement d’apporter de l’amour aux personnes qu’elle sert, mais aussi d’aider les sœurs de l’interrégion à progresser, en tant que filles de notre Père céleste, dans leur autonomie spirituelle et temporelle.
La sœur Delphine Marie Beatrice Mawang-Luko Muzama est née à Kikwit dans le Bandundu (République démocratique du Congo).
Elle a 60 ans et, elle et son mari ont quatre enfants. Elle a été baptisée il y a de cela 22 ans. Avant cet appel, elle servait comme instructrice du séminaire.
Son but dans son nouvel appel est d’inviter tout le monde à venir au Christ en soutenant la présidence de l’interrégion dans la réalisation de ses buts, en orientant et en supervisant les organisations des femmes dans les pieux et les districts, et en servant de ressource aux organisations dirigées par les sœurs dans la mission.
Elle dit que son témoignage personnel du rétablissement de l’Évangile de Jésus-Christ l’inspire à servir et à faire le bien, ensemble avec la lecture quotidienne du Livre de Mormon et les messages des apôtres et dirigeants de l’Église.
La sœur Muzama dit qu’elle a hâte d’entrer en contact avec les sœurs des présidences des organisations dirigées par les sœurs au niveau de pieux et districts de l’interrégion. « Le champ blanchit déjà pour la moisson », dit-elle (voir D&A 33:3). « Nous devons lancer nos faucilles de toutes nos forces. »
La sœur Yeweinshet Bezu Biru est née à Aromia Zone Arsi (Éthiopie). Elle a 55 ans et, elle et son mari ont deux enfants. Elle a été baptisée il y a 11 ans. Avant cet appel, la sœur Biru servait comme présidente de la Société de Secours du district d’Addis-Abeba (Éthiopie).
La sœur Biru est aveugle et dirige une organisation sans but lucratif qui aide des personnes aveugles à apprendre à lire.
En tant que consultante interrégionale des organisations dirigées par les sœurs, « mon but est de bâtir le royaume de Dieu sur la terre en étant plus fidèle et obéissante », dit-elle.
En faisant cela, elle continue à être inspirée par les mêmes choses qui l’ont inspirée lorsqu’elle était nouvelle convertie à l’Église. « Lorsque je suis devenue membre, les autres membres et les missionnaires m’ont inspiré à lire les Écritures, à prier et à écouter les messages des prophètes et apôtres, ce qui me rend meilleure tous les jours. »
La sœur Biru a hâte d’aider les sœurs de l’Église à approfondir leur connaissance de l’Évangile rétabli et d’aider à renforcer leurs témoignages. « De plus, je veux voir plusieurs temples dans l’interrégion que je sers », dit-elle.
La sœur Vulfrida Chanya Simiyu est née à Taita Taveta (Kenya). Elle a 54 ans et, elle et son mari ont trois enfants. Elle a été baptisée à l’Église il y a de cela huit ans. Avant de recevoir cet appel, elle était présidente des Jeunes Filles dans le pieu de Nairobi (Kenya).
La sœur Simiyu dit que sa mission personnelle en tant que consultante interrégionale des organisations dirigées par les sœurs est d’encadrer et d’orienter les dirigeantes « pour fortifier leur foi et renforcer leur témoignage et magnifier leurs appels par le service. » Elle espère également « les aider à ressentir l’amour du Sauveur et à le partager avec les autres. »
La sœur Simiyu dit qu’elle est inspirée par le témoignage de Russell M. Nelson. « Son amour pour le Sauveur et pour l’Évangile rétabli » la motive à continuer à servir ceux qui l’entourent.
La sœur Simiyu dit qu’elle a hâte d’encadrer les sœurs à « servir avec puissance et force dans leurs appels, en attirant plusieurs personnes au Christ et à l’Évangile rétabli. » Elle a hâte de servir sous la direction de la présidence de l’interrégion « en me guidant sur les besoins des dirigeantes des organisations au niveau de pieu » et « en faisant des observations équitables selon les directives de l’Esprit. »
La sœur Epiphanie Christel Mabiala est née à Pointe Noire (République du Congo). Elle a 50 ans et, elle et son mari ont trois enfants. Elle a été baptisée à 23 ans et a fait sa mission en République démocratique du Congo. Avant cet appel, elle servait comme présidente de la Société de Secours de pieu de Makelekele en République du Congo.
Son but personnel dans son nouveau rôle est « d’identifier les obstacles qui empêchent les dirigeantes de ces organisations au niveau de pieu et de district à remplir leurs appels. » Elle désire « amener les filles de Dieu au Christ et les former à être des dirigeantes qui aideront les membres à rester sur le chemin de l’alliance. »
La sœur Mabiala dit qu’elle est inspirée par un désir de « garder les alliances faites avec le Seigneur et d’enseigner aux sœus dirigeantes à la manière du Sauveur. »
Elle a hâte d’appuyer et de soutenir la présidence de l’interrégion. Elle espère magnifier son appel de manière efficace en examinant et en observant les tendances dans la société et leurs causes sous-jacentes, et ensuite en trouvant les sujets de formation appropriés qui tiennent compte de ces modèles sociaux.
La sœur Stella Marys Ajilong est née à Soroti (Ouganda). Elle a 57 ans maintenant, elle a rejoint l’Église il y a presque trois décennies de cela alors qu’elle avait 31 ans. Avant cet appel, la sœur Ajilong servait comme présidente de la Primaire de pieu de Kampala North (Ouganda). Avant cela, elle a servi comme présidente de la Société de Secours de pieu pendant environ 20 ans. C’est aussi une mère seule de deux enfants. La sœur Ajilong a pris sa retraite après 34 ans de service dans une entreprise d’assurance. Elle dirige actuellement une organisation sans but lucratif qui fournit des maisons d’accueil où des mères et pères adoptifs élèvent des enfants orphelins comme leurs propres enfants dans une ferme comme environement familial, et leur offrent une éducation et d’autres compétences afin qu’ils deviennent de futurs adultes autonomes.
« De mon point de vue, mon but en tant que consultante interrégionale des organisations dirigées par les sœurs est d’aider les dirigeantes de ces organisations à apprendre leurs responsabilités afin que par leur exemple, leurs enseignements et leur service, les sœurs, les Jeunes Filles et les enfants de la Primaire puissent avoir le désir de se rapprocher de notre Père céleste », dit la sœur Ajilong.
En servant en tant que mère, dans son appel et dans son œuvre caritative, elle ressent un « désir ardent pour les bénédictions de l’expiation dans cette vie et dans la vie à venir », dit-elle. « C’est ce qui m’inspire à faire mieux. »
En servant dans son nouveau rôle, la sœur Ajilong a hâte de « recevoir les directives de notre Père céleste par des révélations et des inspirations, d’aider les autres afin que par notre service nous puissions voir la croissance dans l’Église en ce qui concerne les chiffres et le témoignage, et avec espoir de devenir moi-même une meilleure personne. »