J’irai où tu veux que je sois
Je l’aime. Je veux faire tout mon possible pour servir comme il le veut.
Mes chers frères et sœurs, c’est avec une profonde humilité et une grande reconnaissance que je me tiens en ce lieu sacré. Dans mon enfance, à Raymond, en Alberta, au Canada, j’adorais chanter « J’irai où tu veux que je sois, Seigneur » (Cantiques, n° 174). Chaque fois que je chantais ces paroles pendant une réunion de Sainte-Cène ou de l’École du Dimanche, elles brûlaient en moi et je m’engageais de tout mon cœur et de toute mon âme, si bien que je voulais toujours aller où le Seigneur le voulait, et dire ce qu’il voulait que je dise. « Ce que tu voudras je serai », Seigneur aimé. Il semble approprié de reformuler cet engagement aujourd’hui.
Je suis reconnaissant du vote de soutien d’hier. Avec vous, je soutiens le président Hinckley et ses conseillers, les présidents Monson et Faust, ainsi que le président Packer et tous les Douze, comme prophètes, voyants et révélateurs. Je témoigne qu’ils sont bien des prophètes, voyants et révélateurs.
J’aime le Seigneur. J’aime l’Église. J’aime les saints des derniers jours fidèles partout dans le monde qui font tout leur possible pour honorer leurs engagements et vivre leur religion. Je témoigne que Dieu vit et que Jésus-Christ, son Fils, est notre Sauveur et notre Rédempteur. Je l’aime. Je veux faire tout mon possible pour le servir comme il le voudrait. Je le dis et j’en témoigne, au nom de Jésus-Christ. Amen.