Leçon 2
Les clefs de la prêtrise
Le but de cette leçon est d’améliorer notre compréhension des clefs de la prêtrise, de leur signification et de leur utilisation.
Introduction
Une clef ouvre la porte d’une maison. Nous ne pouvons pas entrer légitimement dans une maison sans avoir la clef ou la permission du propriétaire. De même, exception faite du droit que le mari et père a de bénir sa famille, un homme qui détient la prêtrise ne peut s’en servir que s’il a la permission appropriée. Un prêtre, par exemple, a l’autorité d’ordonner quelqu’un d’autre à un office de la Prêtrise d’Aaron, mais il ne peut le faire sans en recevoir la permission de son évêque ou de son président de branche. Ce pouvoir de donner la permission s’appelle les clefs de la prêtrise.
«Il faut que tout acte accompli sous cette autorité le soit en son temps et en son lieu, de la manière appropriée et selon l’ordre approprié. Le pouvoir de diriger ces travaux constitue les clefs de la prêtrise» (Joseph F. Smith, Doctrine de l’Evangile, p. 111).
Joseph Fielding Smith a expliqué:
«Ces clefs sont le droit de présidence, elles sont le pouvoir et l’autorité de gouverner et de diriger toutes les affaires du Seigneur sur la terre. Ceux qui les détiennent ont le pouvoir de gouverner et de contrôler la façon selon laquelle tous les autres peuvent servir dans la prêtrise. Nous pouvons tous détenir la prêtrise, mais nous ne pouvons l’utiliser que suivant l’autorisation et les directives à le faire reçues de ceux qui détiennent les clefs» («Les clefs éternelles et le droit de présider», L’Etoile, mars 1973, p. 108).
Quelle différence y a-t-il entre la prêtrise et les clefs de la prêtrise?
La prêtrise est le pouvoir ou l’autorité de Dieu. Les clefs sont le droit d’utiliser ce pouvoir ou cette autorité de manière bien précise.
Qui détient les clefs de la prêtrise?
Jésus-Christ a toujours détenu toutes les clefs de la prêtrise. Quand il a appelé ses douze apôtres, il leur a conféré à tous la prêtrise (voir Jean 15:16).
Montrez l’aide visuelle 2-a, «Le Christ a ordonné ses apôtres et il leur a donné les clefs de la prêtrise».
Avant d’être crucifié, le Christ conféra les clefs de la prêtrise à Pierre, Jacques et Jean sur le mont de la Transfiguration (voir Joseph Smith, Enseignements du prophète Joseph Smith, p. 126; Matthieu 17:1–9). Néanmoins, au cours des siècles qui suivirent la mort des apôtres, ces clefs furent perdues, et avant que les hommes ne puissent utiliser de nouveau la prêtrise il fallait qu’elles soient rétablies. C’est pour cela que le Seigneur a envoyé Pierre, Jacques et Jean à Joseph Smith, le prophète, pour rendre la Prêtrise de Melchisédek et ses clefs (voir D&A 27:12, 13).
Tous les apôtres et prophètes de l’Eglise ont reçu ces clefs sacrées et il en va de même aujourd’hui.
Montrez l’aide visuelle 2-b, «Gordon B. Hinckley, président de l’Eglise».
Bien que chaque apôtre détienne toutes les clefs de la prêtrise, le Seigneur a prévu qu’un seul homme à la fois les utilise au nom de l’Eglise. C’est pour cela que l’apôtre vivant le plus ancien (d’après la date de l’ordination et non par l’âge) est ordonné président de l’Eglise par le Collège des Douze et qu’il reçoit le droit d’utiliser toutes les clefs de la prêtrise. Quand il meurt, les apôtres qui restent ordonnent le plus ancien apôtre vivant (le président du Collège des Douze) afin qu’il utilise pleinement ses clefs apostoliques comme président de l’Eglise.
En conséquence, le président de l’Eglise est le seul homme sur terre qui ait le pouvoir d’exercer toutes les clefs de la prêtrise (voir D&A 132:7). Il en délègue toutefois certaines aux dirigeants qui président dans l’Eglise. (Il s’agit des présidents de mission, des présidents de branche, des présidents de temple, des évêques, des présidents de pieu et des présidents des collèges de la Prêtrise de Melchisédek.) De leur côté, ceux-ci délèguent une partie de leur autorité (mais non les clefs) aux hommes et aux femmes vivant dans leurs unités en les mettant à part pour divers offices et appels.
Joseph F. Smith a expliqué: «Dans leur plénitude, les clefs ne sont détenues que par une seule personne à la fois, qui est le prophète président de l’Eglise. Il peut déléguer n’importe quelle partie de ce pouvoir à quelqu’un d’autre, et en ce cas, cette personne détient les clefs du travail en question. Ainsi, le président d’un temple, le président d’un pieu, l’évêque d’une paroisse, le président d’une mission, le président d’un collège, chacun détient les clefs des travaux accomplis dans cet organisme ou cette localité. Sa prêtrise n’est pas augmentée par cette tâche spéciale» (Doctrine de l’Evangile, p. 111).
Certaines clefs sont données automatiquement quand on reçoit la Prêtrise d’Aaron ou de Melchisédek. Elles consistent en certains droits que l’on détient tant que l’on a cette prêtrise. Par exemple, quand un homme est ordonné à la Prêtrise de Melchisédek, il reçoit les clefs pour donner des bénédictions paternelles, pour donner des bénédictions de consolation et pour faire l’imposition des mains aux malades. Ces clefs ne peuvent lui être enlevées que s’il commet des péchés suffisamment graves pour être excommunié. Sinon, même la mort ne peut les lui enlever.
D’un autre côté, il y a certains droits et certains pouvoirs qu’on peut recevoir et qui ne sont que temporaires. Un président de branche, par exemple, ne détient les clefs de sa branche que durant le temps où il est en fonction. Quand il est relevé, il ne les détient plus.
Importance des clefs de la prêtrise
Quand quelqu’un est appelé à faire une tâche temporaire dans l’Eglise comme officier ou instructeur, il est mis à part pour cet appel. L’officier de l’Eglise qui détient les clefs de cet appel donne à cette personne, au moment de sa mise à part, le droit d’agir dans cette fonction. Dès ce moment, personne d’autre ne peut agir dans son appel, tout comme elle ne peut assumer les devoirs du poste de quelqu’un d’autre. La personne conserve ce droit jusqu’à ce qu’elle soit relevée. Cette relève est faite par l’officier président. Après cela, la personne n’a plus le droit de remplir cet appel. Les membres peuvent être mis à part pour remplir un poste dans l’Eglise pour plusieurs semaines, mois ou années. La durée du service dépend des besoins, de la manière dont la personne s’acquitte de sa tâche et des directives que le Seigneur donne à l’officier président.
Bien qu’hommes et femmes soient mis à part pour des appels, il n’y a que les détenteurs de la prêtrise qui sont ordonnés à des offices de la prêtrise. Il s’agit des offices de diacre, instructeur, prêtre, ancien, grand prêtre, évêque, patriarche, soixante-dix et apôtre. Le fait d’être ordonné à de tels offices permet de servir l’Eglise de manière précise, mais uniquement, comme nous l’avons déjà dit, quand on en reçoit la permission de ceux qui détiennent les clefs de la prêtrise.
L’histoire suivante montre comment l’utilisation correcte des clefs de la prêtrise maintient l’ordre dans l’Eglise.
Au début de l’Eglise, Hiram Page pensa qu’il avait l’autorité de révéler la parole du Seigneur aux membres. Il se mit à parler à d’autres de ses révélations et beaucoup de membres crurent tout ce qu’il enseignait. Joseph Smith pria et demanda au Seigneur ce qu’il fallait faire. Il reçut cette réponse: «Nul ne sera nommé pour recevoir des commandements et des révélations dans cette Eglise, si ce n’est mon serviteur Joseph Smith, fils» (D&A 28:2). Le Seigneur ajouta que Joseph devait dire à Hiram que ce qu’il enseignait et écrivait venait du diable. Il expliqua que Hiram n’était pas la personne qui devait recevoir les révélations pour l’Eglise. Il déclara: «Il n’a pas été chargé de faire cela… car tout doit se faire avec ordre» (D&A 28:11–13).
Le prophète Joseph fit ce qui lui était demandé. Il alla trouver Hiram Page et lui rapporta les paroles du Seigneur. Ramené à l’humilité, frère Page exprima ses regrets et promit de mettre fin à ses agissements. Voyant qu’il se repentait, Joseph lui demanda d’aller en mission. Plus tard, lors d’une conférence, le prophète répéta aux membres ce que le Seigneur lui avait révélé et il leur demanda d’oublier ce que Hiram leur avait enseigné. Tous acceptèrent et ils votèrent pour accepter Joseph comme leur seul prophète, voyant et révélateur. (Voir Joseph Smith, History of the Church, 1:109–15.)
Pourquoi est-il important qu’un seul homme seulement détienne toutes les clefs de la prêtrise?
L’Eglise du Seigneur est une «maison d’ordre»
Comme la prêtrise est sacrée, on nous demande de l’utiliser avec prudence. Elle est donc gérée d’une manière ordonnée pour éviter la confusion et empêcher qu’on en fasse mauvais usage. «Voici, ma maison est une maison d’ordre, dit le Seigneur Dieu, et pas une maison de confusion» (D&A 132:8).
Cet ordre a toujours fait partie du royaume du Seigneur sur la terre. Moïse, par exemple, apprit la nécessité de l’ordre peu de temps après avoir été appelé à diriger les Israélites. Ceux-ci avaient besoin d’une direction capable de maintenir leur unité, mais Moïse découvrit qu’il lui était impossible de guider le peuple à lui tout seul. Il choisit donc «des hommes capables, craignant Dieu, des hommes intègres» et les appela comme dirigeants. Il en mit certains à part pour diriger des centaines, d’autres pour conduire des cinquantaines et d’autres encore pour mener des dizaines. Il leur indiqua ensuite comment ils devaient présider leurs groupes (voir Exode 18:17–22).
Actuellement, nos dirigeants de la prêtrise – évêques et présidents de pieu, de district, de mission, de branche et de collège – reçoivent les clefs de la prêtrise pour que nous soyons dirigés avec ordre et pour que nous recevions les ordonnances nécessaires de l’Evangile. Voici les responsabilités qu’ont les dirigeants de l’Eglise en vertu des clefs de la prêtrise qu’ils détiennent:
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Ils ont un entretien avec ceux qui doivent recevoir des ordonnances.
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Ils expliquent l’importance de l’ordonnance.
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Ils déterminent si la personne est prête ou non à recevoir l’ordonnance.
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Ils mettent à jour les registres nécessaires.
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Ils décident si ceux qui doivent accomplir l’ordonnance sont dignes.
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Ils demandent à quelqu’un de diriger les services religieux.
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Ils demandent aux membres un vote de soutien.
Le père détient les clefs pour bénir. sa famille
De par la volonté du Seigneur, le père est le chef de famille. Pour être efficace en tant que dirigeant spirituel de sa famille, il doit honorer sa prêtrise. S’il le fait, il aura le pouvoir de guider les siens avec amour et dans l’entente et d’être une bénédiction pour eux.
Quelles sont les clefs détenues par le chef de famille?Qu’est-ce que ces clefs nous permettent de faire pour les membres de notre famille?
La prêtrise peut nous apporter beaucoup de bénédictions merveilleuses. H. Burke Peterson en a mentionné quelques-unes: «Si nous menons une vie digne, nous pouvons recevoir de notre Père céleste un pouvoir capable d’apporter la paix à un foyer perturbé. Nous pouvons avoir le pouvoir de bénir et réconforter les petits enfants et d’apporter le sommeil aux yeux remplis de larmes aux petites heures du matin. Nous pouvons avoir le pouvoir…de calmer les nerfs ébranlés d’une épouse fatiguée. Nous pouvons avoir le pouvoir de diriger un adolescent perturbé et vulnérable. Nous pouvons avoir le pouvoir de bénir notre fille avant qu’elle sorte pour la première fois ou avant son mariage au temple, ou de bénir notre fils avant qu’il s’en aille en mission ou qu’il continue ses études… Nous pouvons avoir le pouvoir de bénir les malades et de réconforter les esseulés» (H. Burke Peterson, “Priesthood – Authority and Power”, Ensign, mai 1976, p. 33).
Quel effet cela vous fait-il de savoir qu’un père digne a le pouvoir et l’autorité de bénir sa femme et ses enfants? Quel effet cela vous ferait-il si un membre de votre famille vous demandait une telle bénédiction?
Kyuln Lee, sœur coréenne, a été réconfortée par une bénédiction de la prêtrise chez elle. Voici son histoire:
«Cela s’est produit il y a sept ans environ, alors que mon premier enfant n’avait que dix mois. Mon mari, membre de la présidence du district de Corée, devait faire de longs voyages presque chaque week-end pour s’acquitter de ses tâches dans l’Eglise, me laissant seule avec notre fille, Po Hee. Ce week-end-là, il avait fait, le samedi, quelques 430 kilomètres jusqu’à Pusan (sept heures en train dans chaque sens) et il était ensuite rentré à Séoul ce soir-là pour assister à la conférence de la branche de Séoul-Est le dimanche. C’était fatigant, et je le plaignais.
«Po Hee allait bien le samedi et le dimanche et, bien qu’un peu bruyante durant la réunion de Sainte-Cène, elle avait bu son biberon à notre retour à la maison et elle s’était endormie. Vers 21h30, elle s’est mise à pleurer. Elle pleurait plus fort que d’habitude, et quand je l’ai prise dans mes bras, j’ai constaté qu’elle avait une forte fièvre. Je ne savais quoi faire. J’ai appris que le seul hôpital proche de chez nous était fermé ce jour-là. Elle a continué à pleurer pendant un certain temps, et quand mon mari est finalement rentré, je me suis mise à pleurer aussi.
«Mon mari nous a pris toutes les deux dans ses bras et m’a demandé ce qui n’allait pas. Po Hee avait l’air malheureuse. Quand je lui ai raconté ce qui c’était passé, il a enlevé son manteau et posé sa serviette, puis il a pris son huile consacrée et a donné une bénédiction à notre fille. Je ne me rappelle pas tout ce qu’il a dit, mais après avoir prononcé les paroles rituelles de la bénédiction, il a ajouté: ‹Père céleste, je suis reconnaissant que tu m’aies donné la vie, une épouse et un bébé. Je te remercie de l’Evangile rétabli et de la possibilité que j’ai de servir. Tu m’as envoyé à Pusan et à la branche de Séoul-Est pour régler certaines affaires de l’Eglise. Je me suis acquitté hier et aujourd’hui des responsabilités qui m’ont été confiées, et à présent je trouve mon bébé très malade. Tu m’as aidé tout le temps. Je t’en prie, aide-moi ce soir.›
«Il n’avait pas encore fini sa prière que la petite dormait, et quand j’ai levé les yeux, mon mari avait les larmes aux yeux.
«Notre fille va maintenant à l’école primaire. Elle est en bonne santé et heureuse, mais je me rappelle encore très clairement la partie de la prière où mon mari a dit au Seigneur: ‹Je me suis acquitté hier et aujourd’hui des responsabilités qui m’ont été confiées.› J’espère que je continuerai à le soutenir pour qu’il puisse toujours dire au Seigneur qu’il lui a obéi. Quelle bénédiction d’avoir un mari qui honore la prêtrise!» (“Our Baby, My Husband, and the Priesthood”, Ensign, août 1975, p. 65).
Montrez l’aide visuelle 2-c, «Tous les membres de la famille peuvent recevoir des bénédictions de la prêtrise».
Tous les membres de la famille peuvent recevoir des bénédictions de la prêtrise. L’enfant qui a un problème qu’il a du mal à résoudre, l’épouse qui a besoin d’être réconfortée ou conseillée peuvent demander une bénédiction et recevoir ainsi du Seigneur l’aide dont ils ont besoin. Nous devons nous rappeler, quand nous recevons de telles bénédictions, que beaucoup d’épreuves sont là pour nous donner de l’expérience. Nous devons les résoudre du mieux possible tout seuls, mais quand nous voyons que nous avons besoin d’une aide supplémentaire, nous pouvons nous adresser à un détenteur de la prêtrise de notre famille, aux instructeurs au foyer ou à un autre détenteur de la prêtrise pour demander une bénédiction.
Demandez aux frères de raconter brièvement des bénédictions que leur famille a reçues par la prêtrise.
«Le père doit aspirer de tout son cœur à bénir sa famille. Il doit s’adresser au Seigneur, méditer les paroles de Dieu et vivre selon l’Esprit pour connaître la volonté du Seigneur et savoir ce qu’il doit faire pour diriger sa famille» (Ezra Taft Benson, God, Family, Country: Our Three Great Loyalties, p. 185).
A. Theodore Tuttle a ajouté qu’en plus d’assurer ce genre de direction: «le père digne qui détient la Prêtrise de Melchisédek doit être encouragé à donner un nom et une bénédiction à chacun de ses enfants. Il doit bénir les malades qu’il a chez lui… Il peut donner une bénédiction paternelle…
«Patriarche au foyer, le père est aussi un révélateur pour sa famille… et… à ce titre, il est en bonne position pour recevoir les révélations du Seigneur pour le bien et pour la bénédiction de cette famille (voir Doctrines du salut, 3:156)» (A. Theodore Tuttle, “The Role of Fathers”, Ensign, janvier 1974, pp. 66–67). Un père digne doit aussi baptiser ses enfants, leur conférer le don du Saint-Esprit et les ordonner à la prêtrise. Toutefois, contrairement aux droits liés à sa qualité de père, il ne peut accomplir ces ordonnances qu’après en avoir reçu la permission des dirigeants de la prêtrise qui détiennent les clefs dans sa paroisse ou sa branche.
Conclusion
Bien qu’en tant que détenteurs de la prêtrise nous ayons l’autorité d’accomplir certaines ordonnances, nous ne pouvons le faire qu’après en avoir reçu la permission des dirigeants de l’Eglise. Le pouvoir de donner cette permission s’appelle les clefs de la prêtrise. Le prophète est le seul homme sur terre qui les détienne toutes, mais il les délègue aux dirigeants qui président les unités de l’Eglise. Ceux-ci, de leur côté, nous accordent la permission d’utiliser notre prêtrise.
D’autre part, quand nous sommes ordonnés à la Prêtrise de Melchisédek, nous recevons certaines clefs que nous utilisons en qualité de pères. Grâce à ces clefs, nous pouvons utiliser la prêtrise pour bénir notre famille sans avoir besoin d’en obtenir la permission.
Incitation à l’action
En vous aidant de la prière, réfléchissez à la façon dont vous pouvez utiliser votre prêtrise pour le bien des membres de votre famille.
Ecritures supplémentaires
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D&A 65:1–6 (les clefs du royaume de Dieu ont été remises à l’homme)
-
D&A 110:11–16 (les clefs de notre dispensation et d’autres ont été remises à l’homme)
Préparation de l’instructeur
Avant de faire cette leçon:
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Etudiez 1 Corinthiens 12:12–28.
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Demandez à des frères de lire ou de dire les histoires et les Ecritures de cette leçon.